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Quand le président israélien Isaac Herzog choisit Kinshasa plutôt que Kigali, c’est bien plus qu’une visite diplomatique : c’est un tournant historique. Pour la première fois, le monde reconnaît que le véritable centre de gravité des Grands Lacs n’est plus le Rwanda de Paul Kagame, mais la République démocratique du Congo de Félix Tshisekedi. Après des décennies d’effacement et de tutelle régionale, le Congo reprend la parole, la dignité et le contrôle de son destin. Sous Joseph Kabila, la diplomatie congolaise était à l’arrêt. Dix-huit années d’immobilisme avaient laissé le pays isolé, livré aux manipulations rwandaises, tandis que Kagame profitait de son image internationale pour parler au nom d’un Congo réduit au silence. Mais avec Tshisekedi, tout a changé. En moins de cinq ans, il a replacé la RDC au cœur du jeu mondial : d’abord à travers des partenariats stratégiques avec les États-Unis, l’Union européenne et la Chine, puis, plus récemment, par la relance spectaculaire des relations avec Israël. L’arrivée du président Herzog à Kinshasa en novembre 2025 consacre ce renouveau. Une visite sans précédent, chargée de symboles et d’opportunités concrètes : investissements israéliens dans les mines de cobalt et de lithium, coopération en cybersécurité, transfert de technologies agricoles, et surtout, reconnaissance du Congo comme acteur régional incontournable. Ce geste, aussi simple qu’historique, marque la fin d’une ère — celle où Kigali servait de détour diplomatique pour accéder aux richesses et aux décisions congolaises. Paul Kagame, longtemps perçu comme l’“homme fort” des Grands Lacs, voit désormais ses anciens alliés se détourner. Ses réseaux d’influence se fissurent, ses relais internationaux s’éteignent. Pendant que le Rwanda s’enferme dans une logique d’agression et d’isolement, la RDC, elle, s’ouvre au monde. Tshisekedi transforme la perception du pays : d’une victime des ingérences extérieures, il en fait une puissance qui inspire respect et confiance. Le contraste est saisissant : là où Kagame brandit la peur, Tshisekedi incarne l’espoir. Là où Kigali construit sa politique sur le contrôle, Kinshasa s’impose par la légitimité et la transparence. Cette réorientation diplomatique n’est pas seulement un triomphe politique ; c’est une renaissance nationale. Elle signifie que le Congo n’a plus besoin d’intermédiaires pour exister sur la scène internationale. Le monde parle désormais directement à Kinshasa, et ce simple fait change tout. Dans les chancelleries, les cartes sont rebattues. Dans les médias, le narratif évolue. Et dans le cœur des Congolais, une fierté nouvelle grandit : celle d’un pays respecté, dirigé par un homme qui ose rompre les vieilles dépendances et affirmer la souveraineté africaine. Africa Flashes vous emmène au cœur de cette révolution silencieuse, où chaque geste diplomatique devient un acte de souveraineté. Découvrez comment la visite d’Isaac Herzog symbolise la victoire de Tshisekedi sur Kagame, la fin d’une ère d’humiliation, et la naissance d’un Congo moderne, tourné vers l’avenir. #Tshisekedi #RDC #Herzog #Israël #AfricaFlashes