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Pourquoi et comment intégrer l’agrivoltaïsme à son exploitation agricole ?

Réponses depuis le plateau TV du Sommet de l’élevage avec Malika Girouard, Jean-Marc Fabius et Gilles Van Kempen, exploitant céréalier impliqué depuis 2020 dans le projet agrivoltaïque collectif de « La Bergerie d’Edmond » qu’il développe en partenariat avec GLHD et 6 agriculteurs du Loiret à Châtillon-Coligny et Saint-Maurice-sur-Aveyron. Une réflexion lancée à plusieurs depuis 2020 entre voisins agriculteurs situés sur de la zone intermédiaire avec des rendements qui baissent. La mise en commun de leurs terres les plus mauvaises vise à installer un nouvel éleveur avec un troupeau de 800 brebis dimensionné en fonction du nombre d’hectares. La solution agrivoltaïque adaptée aux problématiques de la matière organique ? Le moyen en tout cas de revenir au système traditionnel de polyculture élevage pratiqué autrefois par les grands-parents. « Réinvestir dans un troupeau, le matériel, une bergerie… Des investissements compliqués et qui peuvent bloquer dans le contexte actuel. C’est là où le photovoltaïque fait sens pour s’adapter, innover, repenser le modèle à moindre coût. » « L’agrivoltaïsme en collectif pour recoupler céréales et élevage est une sacrée force, un accélérateur pour les transitions, la connexion avec l’écologie est évidente. » « Tout part du bon sens des agriculteurs. Un tel projet permet aussi de se reconnecter aux habitants du territoire qui sont largement invités à réfléchir collectivement au projet grâce à la concertation. » En savoir plus sur le projet de La bergerie d'Edmond : https://www.bergerie-edmond.fr/ En savoir plus sur l'agrivoltaïsme au Sommet de l'élevage avec GLHD : https://green-lighthouse.com/type-for...