Le père de Nicola Sirkis répond à son fils скачать в хорошем качестве

Le père de Nicola Sirkis répond à son fils

"...j'estime particulièrement déplacé et grossier que Nicolas continue d'utiliser la mort de son frère jumeau dont il est en grande partie responsable et d'utiliser sa famille pour faire la promotion de ses disques !" (Jean Sirkis, extrait de cette réponse à Nicolas Sirkis) Décembre 2018. J'ai conduit notre père à l'hôpital de Montpellier pour qu'il y subisse une intervention chirurgicale. Comme c'est souvent le cas après une "opération", l'établissement décide qu'il doit libérer la chambre. Il est épuisé. Il aurait préféré pouvoir se reposer encore 24 heures plutôt que de se lever si tôt (avec les douleurs consécutives au geste et à l'anesthésie péridurale), sortir de l'hôpital et faire encore près de trois heures de route. Le système médical étant ainsi organisé, il était trop tard pour envisager un transfert en ambulance, ce qui aurait été utile, à son âge et dans les suite de l'intervention qu'il venait de subir. Jean Sirkis en décembre 2018 est âgé de 93 ans. Durant le trajet, je reçois plusieurs SMS de condoléances. Quelqu'un avait anticipé son décès quelque part et l'info avait rapidement circulé. Quelques heures plus tard, aspirant à un repos mérité, avant de pouvoir enfin dormir, notre père consulte l'actualité et tombe sur une info indiquant que son fils Nicolas vient de publier une chanson dans laquelle il se pose en victime, et déplore ne plus avoir vu son père depuis 10 ans. Mon père m'appelle alors, furieux, et me dicte un texte qu'il relit et corrige plusieurs fois avant de me demander de l'enregistrer en audio et de le publier sur Youtube. Vous pouvez ici prendre connaissance de cet enregistrement qu'il a réalisé dans un état de grande fatigue, mais disposant de tous ses esprits et de la détermination qui l'a toujours caractérisé. Ce texte est une mise au point de plus face au flot incessant des mensonges grossiers et des fantasmes débiles dont Nicolas Sirkis abreuve les médias afin de tenter de justifier les comportements agressifs et destructeurs dont il a fait preuve à l'égard de Stéphane, de notre père et de ma personne. Je remercie donc une nouvelle fois Nicolas Sirkis d'avoir ancré dans l'esprit du public des propos orduriers afin de salir la mémoire de Stéphane et de nous pourrir la vie. Grace à ces démarches qui relèvent d'un esprit pervers et d'initiatives peu honorables, notre père a éprouvé de 1986 à sa mort une vie sociale gâchée par la calomnie, une vie professionnelle compliquée, des situations particulièrement agressives de la part de personnels soignants en hospitalisation (je l'ai personnellement constaté et dispose de preuves incontestables). Merci a Nicolas Sirkis pour les insultes qu'il a publiées à mon sujet et les rumeurs ordurières qu'il a fait publier, parvenant à saboter mes relations professionnelles, sociales, le tout provoquant notamment des harcèlement que mon fils a subis de l'école élémentaire jusqu'à sa première année au lycée. Harcèlement à l'initiative des petits esprits bien formatés par les médias, dont un enseignant, il faut le souligner. La principale du collège a du à cet égard convoquer mon fils et lui présenter des excuses au nom de l'Education Nationale. Merci également à ma famille maternelle d'avoir infiltré ma belle famille, profitant de la notoriété, afin, comme à son habitude, de l'endoctriner à coup d'autographes , de CDs et de places de concerts, pour nous diaboliser; avec pour résultat un contexte relationnel définitivement détruit qui a affecté parents et enfants. Merci encore, d'avoir fait croire et de continuer de faire croire au public que notre frère Stéphane était un pauvre débile pervers et fainéant et qu'il méritait son sort. A ceux qui voudraient faire croire que je suis à l'origine de la présente démarche, sachez que Jean Sirkis n'était pas dupe de la méchanceté machiavélique qu'il devait supporter de la part de Nicolas et de notre famille maternelle. Il confirmait chaque chose dont il me chargeait, notamment d'écrire sous sa dictée, de l'enregistrer et de diffuser ses déclarations, par des directives très claires également enregistrées ou manuscrites et signées. Les personnels soignants, ses conseillers, pourront également attester qu'il a gardé toute sa lucidité et sa détermination jusqu'à ses derniers jours. Christophe Sirchis, décembre 2018, complété le 14 mars 2025.