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Couplet 1 Ah, quel bonheur de voir l’enfer danser, Un monde en flammes, un théâtre à façonner. Je marche parmi les braises, sourire aux dents, Parce qu’un bon carnage… c’est divertissant. Les cris résonnent comme une douce mélodie, Chaque supplice m’offre une nouvelle harmonie. Oh, j’ai tant attendu que tout se déchaîne, Pour nourrir la radio de vos peurs et vos peines. --- Refrain Je suis l’ombre qui rit, la tempête qui chante, Le signal grinçant que votre raison affronte. Tournez le bouton… et vous entendrez, La joie du chaos que je viens apporter. Héhéhé ! Je suis Alastor, et je règne en riant, Sur la misère vibrante de chaque pauvre vivant. --- Couplet 2 Voyez-vous, mes amis, je ne veux pas dominer : Simplement façonner l’enfer à ma volonté. Un peu de style, un peu de terreur, Et soudain tout devient un spectacle de grandeur ! Les démons s’inclinent devant mes illusions, Chaque sourire cache une intention. Mais c’est plus fort que moi, j’aime ce pouvoir : Créer un cauchemar… qui vous fera croire. --- Refrain Je suis l’ombre qui rit, la tempête qui chante, Le signal grinçant que votre raison affronte. Tournez le bouton… et vous entendrez, La joie du chaos que je viens apporter. Héhéhé ! Je suis Alastor, et je règne en riant, Sur la misère vibrante de chaque pauvre vivant. --- Pont Et si un jour l’hôtel venait à briller, Je serais là, dans un coin, pour tout parasiter. Car rien n’est plus beau qu’un rêve qui s’effondre… Sous la douce pression de mes murmures sombres. --- Dernier Refrain (plus théâtral) Je suis l’ombre qui rit, la tempête élégante, La voix qui danse dans vos nuits inquiétantes. Accrochez-vous fort… car vous écoutez, L’émission spéciale du chaos enchanté. Héhéhéhé ! Je suis Alastor, votre charmant tourmenteur, Toujours présent… quand vient l’heure du malheur.