У нас вы можете посмотреть бесплатно Est-ce la fin du capitalisme ? Une interview de Patrick Artus или скачать в максимальном доступном качестве, видео которое было загружено на ютуб. Для загрузки выберите вариант из формы ниже:
Если кнопки скачивания не
загрузились
НАЖМИТЕ ЗДЕСЬ или обновите страницу
Если возникают проблемы со скачиванием видео, пожалуйста напишите в поддержку по адресу внизу
страницы.
Спасибо за использование сервиса ClipSaver.ru
📊 Pour accéder à notre offre Synapses LIVE + afin de bénéficier de notre sélection de 20 valeurs boursières et de découvrir les TOP PICKS d’Alphavalue, cliquez ici : 👉 https://synapses-live-plus.carrd.co/#... « la dernière chance du capitalisme », Patrick Artus et Marie-Paule Virard le reconnaissent volontiers : la révolution conservatrice initiée au début des années 1980 par Margaret Thatcher et Ronald Reagan a abouti sur les cendres de l’Etat-Providence et de la pensée keynésienne à l’avènement du capitalisme néo-libéral inspiré par Milton Friedman et il est tout aussi indubitable que ses principes d’airain (libéralisation des échanges, recul du rôle de l’Etat, poursuite acharnée de la désyndicalisation, exigence intraitable de rentabilité élevée des capitaux, primat sacro-saint de l’actionnaire) se sont rapidement diffusés pour devenir la doxa à laquelle la plupart des décideurs de la planète, quelles que soient leurs sensibilités ou leurs obédiences, n’osent plus déroger. Le fameux « There is no alternative » de la Dame de fer est désormais si bien gravé dans la psyché collective que les salariés eux-mêmes se sont résignés à être les oubliés de la machine à créer de la prospérité et n’osent presque plus revendiquer le partage des fruits des gains de productivité avec les actionnaires. Que le capitalisme néo-libéral règne sans partage constitue dès lors une évidence aux yeux de beaucoup. Pourtant, à l’heure où il triomphe quasiment partout d’un bout à l’autre de la planète, sa survie deviendrait de plus en plus douteuse. Nous pourrions même assister à son effondrement. Du moins est-ce le diagnostic qu’établissent les deux auteurs de « La dernière chance du capitalisme » pour qui le capitalisme néo-libéral a failli à tenir toutes les promesses qu’il portait. Est-il possible de sortir de cette impasse ? La Théorie Monétaire Moderne (Modern Monetary Theory) promue par Stephanie Kelton et que les banques centrales (FED, BCE, BoJ) semblent avoir implicitement adoptée peut-elle s'apparenter à une alternative crédible ? Patrick Artus nous répond. 00 :00 Le capitalisme (néo-libéral) est mort. 02 :58 A qui profite le crime ? Qui va payer le prix fort ? 05 :00 Un modèle inégalitaire sous pression 07 :20 Nombreuses failles du modèle capitaliste actuel 09 :28 Comment en sommes-nous arrivés à la destruction d’emplois qualifiés ? 16 :11 Une exigence de rentabilité des capitaux aberrante 21 :26 Retraite par capitalisation : indispensable à une sortie vers le haut ? 24 :23 De la régulation à l’incitation, plaidoyer pour l’ordo-libéralisme 26 :27 La fausse bonne idée de la TMM (Théorie Monétaire Moderne) 34 :47 Sommes-nous réellement en capacité de changer de modèle ? 39 :30 Le modèle actuel à bout de souffle 41 :50 La transition entre deux modèles ne peut se faire sans casse 43 :39 L’autre problème de taille à traiter d’urgence #PatrickArtus #FinCapitalisme #Effondrement Pour soutenir @SynapsesYT ****************************************************** Abonnez-vous à @SynapsesYT Un pouce vers le haut, si vous aimez les contenus de @SynapsesYT Commentez, réagissez aux émissions de @SynapsesYT et échangez dans l’espace commentaires sous la vidéo (en toute courtoisie et respect des autres et de leur point de vue, même s’il diffère du vôtre)