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Trésorerie patrimoniale libre : Bougardier lance le Prêt Libre Patrimoine

Trésorerie patrimoniale libre : Bougardier lance le Prêt Libre Patrimoine Dans un contexte où les ménages français n’ont jamais détenu autant de patrimoine immobilier… mais peinent à accéder à une trésorerie intermédiaire, le cabinet Bougardier lance un nouvel outil inédit : le PLP, Prêt Libre Patrimoine. De quoi s’agit-il ? Les réponses de Véronique Bougardier. 🔴Un nouveau prêt patrimonial fait son entrée en France Jamais les ménages français n’ont détenu autant de patrimoine immobilier (Insee : +260 % depuis les années 2000). Pourtant, accéder à une trésorerie intermédiaire — pour aider un enfant, financer des travaux, absorber un imprévu fiscal ou saisir une opportunité — reste extrêmement complexe. Entre un crédit à la consommation limité à 75 000 € et un crédit hypothécaire souvent réservé aux très gros montants, un vide persiste : celui des besoins compris entre 100 000 € et 500 000 €, un segment pour lequel aucune solution standardisée n’existe. 🔴Un angle mort entre crédit conso et crédit hypothécaire Les besoins sont connus : près d’un ménage patrimonial sur trois déclare manquer d’options “ni trop lourdes, ni trop limitées” (Observatoire de l’Épargne Européenne). Le crédit conso offre une réponse rapide, mais ses plafonds restent insuffisants. Le crédit hypothécaire classique, lui, s’impose pour les montages structurés, mais exige une affectation stricte, un passage notarial complet et une série de justificatifs. Depuis 2023, les conditions d’octroi se sont durcies, compliquant l’accès à une enveloppe souple destinée à des usages pourtant légitimes : études, travaux, transmission, donation, gestion d’un aléa fiscal ou successoral. Entre “trop petit” et “trop lourd”, un vide durable fragilise ainsi le financement patrimonial intermédiaire. 🔴Une nouvelle génération de financement : la trésorerie patrimoniale libre Face à cette impasse, une nouvelle approche émerge : un financement qui s’appuie sur le patrimoine immobilier, mais sans les contraintes de l’hypothèque classique et sans les limites du crédit conso. Ce modèle repose sur une logique simple : accorder une enveloppe de trésorerie significative en contrepartie d’une garantie immobilière, tout en laissant à l’emprunteur la liberté totale d’utiliser les fonds. Concrètement, il s’agit d’un prêt : • non affecté, ne nécessitant ni devis, ni factures, ni justification de l’usage ; • intermédiaire, adapté aux besoins de 100 000 € à 500 000 € ; • sécurisé, encadré par un cadre réglementaire strict ; • allégé, avec des démarches simplifiées et des délais raccourcis. Cette logique ouvre la voie à un instrument inédit : un financement patrimonial pensé non pour l’achat d’un bien, mais pour tout ce qui permet de faire vivre, transmettre ou valoriser son patrimoine. 🔴Bougardier lance le PLP : première solution française fondée sur ce modèle Dans ce contexte, le cabinet Bougardier présente le PLP – Prêt Libre Patrimoine, première solution française conçue pour répondre à ce besoin croissant. Fort de plus de cinquante ans d’expertise dans le refinancement du patrimoine immobilier et d’un taux d’acceptation bancaire de 98 % en 2025, le Cabinet transforme cette approche en un produit opérationnel, structuré et sécurisé. Le PLP offre : • une trésorerie immédiate de 100 000 à 500 000 € ; • une garantie immobilière limitée à 70 % de la valeur du bien (LTV 70 %) ; • un usage totalement libre des fonds ; • des démarches sans assurance imposée ni justificatifs d’usage ; • un taux indicatif 4.90 à 5.5 %, positionné entre conso et hypothèque ; • une conformité intégrale (ACPR, lutte anti-blanchiment, traçabilité). Une nouvelle voie s’ouvre ainsi dans le paysage du financement : un outil souple, sécurisé, pensé pour réconcilier patrimoine et liquidité. “Depuis plus de cinquante ans, nous voyons les mêmes situations : des clients disposant d’un patrimoine solide mais sans solution adaptée pour accéder rapidement à une trésorerie significative. Le PLP est né pour répondre à cette réalité”, indique Véronique Bougardier, dirigeante du cabinet éponyme. Une interview de Anne-Sandrine Di Girolamo