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Plonge dans l’univers de "Je Marche Seul", un rap sombre et introspectif signé Chrysam Bingyi. Cette création libre de droit explore la résilience, la solitude et la force intérieure face aux épreuves. Entre poésie brute et intensité émotionnelle, cette chanson captive par son flow lent, profond et cinématographique. Durée : 4:00 Style : Rap sombre / Rap conscient / Hip-hop émotionnel Auteur & Création : Chrysam Bingyi Abonne-toi pour découvrir d’autres créations libres de droit : RNB, RAP Hardcore, Dance, Slow, et plus encore. Paroles : Traverser la nuit sans repère, Sentir le sol se dérober sous mes pas, Les murs parlent quand le monde s’efface, Je cours sans fuite, je vis sans grâce. Je marche sur des terres que j’ai moi-même foulées, Le cœur en bataille, les traces effacées. Je crie sans trembler, même si tout chancelle, Sur ce chemin instable, je garde mes ailes. Je marche sur des terres que j’ai moi-même foulées, Le poids du passé pèse, mais je suis éveillé. Je crie sans trembler, même si tout chancelle, Sur ce chemin instable, je garde mes ailes. Le vent coupe ma respiration, J’ai appris à ne compter que sur ma conviction. Des murs sans fenêtres, des regards qui figent, Des voix qui s’effacent au détour d’un virage. Je suis le passager d’un train sans gare, J’attends l’arrêt mais le quai est hors-cadre. Chaque fracture dans la peau devient marque de l’histoire, Je n’ai plus peur d’être seul, j’ai appris la trajectoire. Je marche sur des terres que j’ai moi-même foulées, Le cœur en bataille, les traces effacées. Je crie sans trembler, même si tout chancelle, Sur ce chemin instable, je garde mes ailes. Je marche sur des terres que j’ai moi-même foulées, Le poids du passé pèse, mais je suis éveillé. Je crie sans trembler, même si tout chancelle, Sur ce chemin instable, je garde mes ailes. La peur me visite à chaque intersection, Mais j’ai choisi de tracer mes propres directions. Des flammes internes nourrissent mon moteur, Quand tout part en vrille, je deviens le conducteur. On m’a dit de rester sage, de suivre la masse, J’ai préféré voler bas plutôt que m’enliser dans la glace. Le silence parle plus fort que mille discours, Et quand j’ouvre la bouche, c’est pour briser les contours. Je marche sur des terres que j’ai moi-même foulées, Le cœur en bataille, les traces effacées. Je crie sans trembler, même si tout chancelle, Sur ce chemin instable, je garde mes ailes. Je marche sur des terres que j’ai moi-même foulées, Le poids du passé pèse, mais je suis éveillé. Je crie sans trembler, même si tout chancelle, Sur ce chemin instable, je garde mes ailes. Chaque cicatrice est un code que je déchiffre, Quand le monde se ferme j’apprends à franchir la porte. J'ai quitté la zone connue, rempli de fausses certitudes, Pour trouver ce qui reste quand la tempête continue. Les gens partent, les promesses tombent, Et je reste debout même si tous les ponts succombent. Je trace une figure qui défie le temps, Et je laisse derrière moi ce qui m’empêchait de respirer vraiment. Je marche sur des terres que j’ai moi-même foulées, Le cœur en bataille, les traces effacées. Je crie sans trembler, même si tout chancelle, Sur ce chemin instable, je garde mes ailes. Je marche sur des terres que j’ai moi-même foulées, Le poids du passé pèse, mais je suis éveillé. Je crie sans trembler, même si tout chancelle, Sur ce chemin instable, je garde mes ailes. Quand la lune se voile et que l’horizon retient son souffle, Je suis encore là, prêt à défier ce qu’on affronte. Le temps s’étire, les regards se détournent, Mais je me nourris de ce qui survient malgré les jours sourds. Je n’attends plus qu’on vienne m’ouvrir le chemin, J’emporte ma route dans le creux de mes mains. Les frontières s’effacent quand l’esprit est décidé, J’avance sans trembler, sans jamais m’arrêter. Je marche sur des terres que j’ai moi-même foulées, Le cœur en bataille, les traces effacées. Je crie sans trembler, même si tout chancelle, Sur ce chemin instable, je garde mes ailes. Je marche sur des terres que j’ai moi-même foulées, Le poids du passé pèse, mais je suis éveillé. Je crie sans trembler, même si tout chancelle, Sur ce chemin instable, je garde mes ailes. Et si tout s’effondre autour de moi, Je trouverai la force dans mes choix. Quand tout se tait je deviens le cri, Je deviens la voie que je construis. Je marche sur des terres que j’ai moi-même foulées, Le cœur en bataille, les traces effacées. Je crie sans trembler, même si tout chancelle, Sur ce chemin instable, je garde mes ailes. Je marche sur des terres que j’ai moi-même foulées, Le poids du passé pèse, mais je suis éveillé. Je crie sans trembler, je deviens l’étincelle, Sur ce chemin instable, je garde mes ailes. Rien ne m’arrête. Rien ne me plie. Je suis l’auteur de mes ruines et de mes envols. Et quand la nuit aura fait son office, Je resterai debout. Toujours.