Un "Suprémaciste noir" africain fait de l'ingérence aux Antilles françaises (voir description👇) скачать в хорошем качестве

Un "Suprémaciste noir" africain fait de l'ingérence aux Antilles françaises (voir description👇)

0:00 Le R pointé du doigt 17:05 Marie-Galantais complètement paumé mentalement Vs Suprémaciste noir 39:25 Bena Congo l'idiote utile kémite 48:15 JEAN-JEAN 17 ans et poussé vers le pire 58:07 Même ce militant du RPPRAC est excédé par la situation Dans ce live, un militant panafricaniste extérieur aux Antilles tente d’imposer une lecture racialisée et violente de la société antillaise, allant jusqu’à appeler implicitement à la confrontation armée contre une partie de la population locale, au nom d’une prétendue « libération ». Dès l’entrée, l’obsession raciale est posée comme préalable au dialogue : la couleur de peau devient un critère de légitimité. Le discours repose ensuite sur une accumulation de clichés et de contre-vérités : – assimilation systématique des békés au rôle d’oppresseurs violents, – fantasmes sur les salaires des fonctionnaires métropolitains – vision manichéenne de la vie chère fondée exclusivement sur la race. Partie 1 Un intervenant d’origine guadeloupéenne, ayant très peu vécu sur place et ne maîtrisant manifestement ni les codes ni la réalité sociale locale, se présente pourtant comme porte-parole légitime. "La France délaisse mon île ! ". Passant sous silence tout ce que la France a pu apporter aux Antilles françaises: aides sociales, subventions, fond européens, etc... Cherchant à être accepté par son interlocuteur, il adopte un discours identitaire artificiel, allant jusqu’à redéfinir l’identité de sa propre mère, pourtant chabine originaire de Marie-Galante, en la présentant comme une femme « noire africaine », afin de se conformer au narratif panafricaniste dominant. Partie 2 Le live bascule dans une phase d’endoctrinement malsaine, ciblant un adolescent guadeloupéen de 17 ans. Cette séquence illustre les effets délétères des réseaux sociaux sur des jeunes sans encadrement, exposés en continu à des contenus identitaires simplistes, victimaires et déconnectés de la réalité antillaise. Se déclarant lui même abonné aux chaine panafricaines/Kémites, et du haut de ses 17 ans il a un avis bien tranché sur les blancs. Poussé par le suprémaciste, tous 2 prévoient une solution bien... "tranchante" pour délivrer les Antilles françaises... 🤔 Partie 3 Tentative finale : convaincre un Martiniquais qu’il serait « africain », que la Martinique serait majoritairement blanche ou encore que le créole viendrait du kikongo — une démonstration flagrante de négation de l’histoire, de la démographie et de la complexité culturelle locales. 👉 Les commentaires valent le détour : ils révèlent l’ampleur de la confusion idéologique et la facilité avec laquelle certains discours extrêmes circulent. Pourquoi ce type de contenu, qui attise la haine raciale et la violence, reste-t-il toléré sur TikTok ? À l’approche de la présidentielle de 2027, les citoyens ne sont-ils pas en droit de s’interroger sur la légitimité de soutenir un parti qui traiterait sérieusement ces formes d’ingérence idéologique ?