Скачать с ютуб MAIN DANS LA MAIN AVEC L’ARTISAN (Excellence Guilloché Main) @LOUISERARD @CULTUREMONTRES в хорошем качестве

MAIN DANS LA MAIN AVEC L’ARTISAN (Excellence Guilloché Main) @LOUISERARD @CULTUREMONTRES

(english below) •••• LOUIS ERARD : MAIN DANS LA MAIN AVEC L’ARTISAN Excellence Guilloché Main - Édition limitée à 99 exemplaires Louis Erard poursuit son odyssée dans les métiers d’art. Il y a eu l’édition limitée Excellence Émail Grand Feu. Voici l’Excellence Guilloché Main, toujours en édition limitée et toujours le même regard contemporain sur la tradition des métiers d’art et de l’artisanat. Chaque cadran est réalisé à la main, pièce à pièce, avec un soin du détail normalement réservé au très haut de gamme. Le motif en damier 3D piège le regard comme un trompe-l’œil. Un motif inusité sur ce type de finition, qui brise quelque peu les codes du cadran guilloché main. Comme l’interprétation contemporaine du parquet en marbre d’un palais haute Renaissance vénitien, croisé avec une gravure de M.C. Escher. Les cadrans sont réalisés pièce à pièce, en guillochage main, l’un des métiers d’art les plus traditionnels qui soient. L’un des rares métiers d’art qui aient accompagné toute l’histoire de l’horlogerie et perdurent aujourd’hui. Un métier d’orfèvre en réalité, où chaque geste compte, où chaque geste est le résultat d’un nombre incalculable d’heures de travail, d’exercices, et dont le cadran fini n’est qu’une étape. Comme un pianiste déroulant ses concertos dans une vie de répétitions et de gammes. Louis Erard poursuit ainsi son cheminement à travers les métiers d’art. Le guillochage main est une nouvelle étape, après l’émail grand feu et avant d’autres métiers d’art à venir. Toujours sur le même mode : rendre accessible l’exclusivité du savoir-faire traditionnel. Et même au-delà, puisqu’en rendant ces métiers d’art accessibles, Louis Erard participe à la perpétuation de ces artisanats, dont la survie repose sur le grand luxe et reste fragile. Il faut plusieurs heures de travail pour achever un seul des cadrans de l’Excellence Guilloché Main. Ils sont réalisés chez le cadranier Fehr, à La Chaux-de-Fonds, qui entretient comme un trésor son propre atelier de guillochage, et où chacun de ces cadrans est manufacturé, un à un, patiemment, par une artisane, toujours la même. Le motif est réalisé sur un tour à guillocher manuel. Machine centenaire faite de cames, de doigts palpeurs, de manivelles et de burins. Toute une mécanique qui se moque bien du numérique et des automatismes. Ici, tout est opéré à l’œil et à la main. L’artisane ne peut compter que sur sa dextérité pour créer un motif régulier, vif et harmonieux. Les exigences sont extrêmes : un seul écart dans la pression exercée sur le burin, une seule ligne brisée, et tout est à refaire. •••• LOUIS ERARD: THE SIGNATURE OF AUTHENTIC CRAFTSMANSHIP Excellence Émail Grand Feu - Small Seconds – Limited edition of 99 pieces. The coming-together of the most exquisite traditional Grand Feu enamel craftsmanship and fine contemporary watchmaking. For the very first time, Louis Erard is incorporating an artistic craftwork; and this is only just the beginning. This is an achievement which comes with a message: making one of the most exclusive traditional crafts of all times accessible. The dial is to a watch what skin is to man. If it is true, as Paul Valery claimed, that the deepest thing in a man is their skin, then the soul of a watch is surely to be found in its dial. Louis Erard has always followed this philosophy, striving to take as much care as possible over every single detail. This time, Louis Erard is going even further, taking another, extra step. Or, perhaps more accurately, crossing a threshold. Specifically, the threshold of the Donzé Cadrans workshop, the art enameller in Le Locle, the go-to address for some of the most prestigious brands. This is a workshop which manages to maintain the appearance of how an enamelling workshop in the 17th century might very well have looked, with its oven, its collections of enamels and its workbenches cluttered only by brushes. No high technology, no IT. Man is at the centre: hand, eye, and know-how. Know-how which has been patiently refined, through practice, experiments and failures too, as nothing is taken for granted. The traditional Grand Feu enamel method required the dials to be built up little by little, with thin layers of silica, metallic oxide and potassium, combined for eternity in the alchemy of a succession of rounds of firing at more than 800°C. Everything happens in the oven, where the material, left to itself, is not easily tamed, as evidenced by the high and incompressible level of waste. (...)