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À VOTRE ATTENTION : La voix off a été générée par l'intelligence artificielle. Montage et réalisation : l'équipe de CAMEROON Images illustratives. En bas plus de détails ____________________________________ Dans ce nouveau rebondissement de la politique camerounaise, Paul Biya, le président en exercice depuis plus de quatre décennies, a opposé un véto catégorique à la tournée nationale de son ministre d’État et secrétaire général à la présidence, Ferdinand Ngoh Ngoh. Ce dernier, perçu depuis plusieurs années comme un potentiel dauphin et pilier du régime, avait entamé une série de visites dans des régions clés comme l’Extrême-Nord, la Lékié, et Douala, avec en ligne de mire une escale dans les 7 communes de Yaoundé. La décision présidentielle, révélée par le journaliste Boris Bertolt, laisse transparaître des tensions internes au sommet de l’État, alimentant les rumeurs sur une cassure au cœur du système Biya. Cet arrêt brutal met en lumière la complexité du jeu de succession dans un système où les équilibres de pouvoir sont précaires, et où les ambitions politiques peuvent vite être freinées par une seule directive. Les conséquences de ce coup de frein présidentiel ne se limitent pas à un seul homme : elles secouent toute la classe politique camerounaise, provoquant recalculs stratégiques, réajustements de loyautés, et renforcement du mystère entourant la succession. Derrière cette décision, c’est une redistribution silencieuse des cartes du pouvoir qui semble s’opérer, dans un climat où la moindre initiative politique peut être perçue comme une menace à l’autorité du chef de l’État.