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Née en 1868 au château écossais de Duntrune, Alice Keppel n’était pas destinée à devenir un nom gravé dans les annales de l’Histoire britannique. Pourtant, son destin allait croiser celui d’un roi : Édouard septième. À une époque où les apparences régnaient, Alice se glissa dans l’intimité du prince héritier, puis du roi, devenant non seulement sa maîtresse attitrée, mais aussi sa confidente, son refuge émotionnel. Contrairement à d’autres femmes de cour, elle ne cherchait ni titres ni scandales, mais influençait en coulisses — avec grâce, intelligence et diplomatie. Mariée à George Keppel, elle mena une double vie équilibrée avec soin. Son mari fermait les yeux sur cette relation royale qui leur apportait prestige et sécurité. Dans les salons privés, on murmurait son nom avec respect — et parfois jalousie. Mais le véritable choc de cette histoire survient des décennies plus tard : son arrière-petite-fille n’est autre que Camilla Rosemary Shand, aujourd’hui reine Camilla, épouse du roi Charles troisième. L’amante rejetée d’un roi est donc devenue l’ancêtre directe d’une reine couronnée. L’Histoire, semble-t-il, a le sens du retournement ironique. Alice Keppel ne se résume pas à un rôle de maîtresse. Elle était aussi mère, stratège, mécène et infirmière volontaire pendant la Première Guerre mondiale. Elle s’éloigna discrètement de la scène royale après la mort d’Édouard septième en 1910, mais ne disparut jamais vraiment. Sa présence persista dans les cercles mondains et les mémoires aristocratiques. Elle termina ses jours en Italie, dans une villa florentine où elle recevait les grands exilés de l’Europe et continuait à influencer, sans jamais s’exposer. Elle mourut en 1947, entourée des siens — et d’un héritage que peu auraient pu prédire. Aujourd’hui, son histoire ressurgit avec un nouvel éclairage. Ce n’est plus seulement celle d’une maîtresse, mais celle d’une femme qui, contre toute attente, a façonné la destinée de la monarchie britannique.