У нас вы можете посмотреть бесплатно Vérité sur la mort du vice gouverneur M23/RDF du Sud Kivu et sa nièce amante Mariam dévoilée или скачать в максимальном доступном качестве, видео которое было загружено на ютуб. Для загрузки выберите вариант из формы ниже:
Если кнопки скачивания не
загрузились
НАЖМИТЕ ЗДЕСЬ или обновите страницу
Если возникают проблемы со скачиванием видео, пожалуйста напишите в поддержку по адресу внизу
страницы.
Спасибо за использование сервиса ClipSaver.ru
Dans les profondeurs troublées du Sud-Kivu, un double assassinat secoue les lignes du pouvoir rebelle. Le vice-gouverneur Gashinge Gashingira Juvénal, figure centrale du M23/RDF, est retrouvé mort dans des circonstances mystérieuses. Quelques heures plus tard, Mariam, sa nièce et supposée compagne, est capturée puis exécutée sans procès. Que cache ce silence brutal ? Trahison intime ou opération d’effacement politique soigneusement orchestrée ? L’alerte est lancée par Anaelmarlon Luzayamo, une voix incontournable sur X. Il accuse le M23 d’avoir éliminé Juvénal après une réunion où ce dernier aurait dénoncé publiquement l’hypocrisie des pourparlers au Qatar. Mariam, témoin gênant ou complice présumée, aurait été exécutée pour protéger des secrets explosifs. Cette affaire dépasse le simple cadre d’un règlement de comptes : elle illustre les luttes de pouvoir internes, la manipulation des récits et la répression féroce au cœur de l’administration rebelle. Le décor est tendu : en mai 2025, Bukavu tombe sous le contrôle du M23, qui installe son propre gouvernement. Mais la gouvernance s’avère chaotique, ponctuée de taxes abusives, de fermeture de banques et d’un rejet populaire grandissant. Dans ce contexte, la mort de Juvénal, leader respecté chez les Banyamulenge, menace l’équilibre ethnique fragile au sein de la rébellion. Et l’exécution précipitée de Mariam empêche toute clarification. Luzayamo révèle aussi des mouvements militaires suspects : des recrues Banyamulenge transférées en urgence, sauf celles venues du Kenya et d’Ouganda. Pourquoi ? Avait-on peur de fuites ? Et pourquoi Mariam, liée par le sang à des figures comme le général Masunzu, aurait-elle été désignée coupable ? Ces détails soulèvent des soupçons sur une opération d’épuration interne ou un complot visant à neutraliser toute dissidence. L’ombre du Rwanda plane sur cette affaire. Les accusations de soutien au M23, souvent niées par Kigali, trouvent ici un nouvel écho. La rapidité des exécutions, la gestion du récit, et l’élimination des voix critiques rappellent les méthodes des RDF. Et pendant que les médias internationaux gardent le silence, des voix congolaises comme celle de Luzayamo luttent pour faire éclater la vérité sur les véritables commanditaires. Ce n’est pas juste une histoire de poison. C’est une bataille pour la souveraineté, pour le droit des Congolais à gouverner leur sol sans interférences. L’exécution de Mariam ressemble plus à un message qu’à une sanction. Celui qui ose parler trop fort, même en privé, devient une cible. Et le Congo, une fois de plus, est le théâtre d’un drame géopolitique écrit dans l’ombre. La vérité, elle, ne demande qu’à être entendue. #M23, #SudKivu, #RDC, #Kagame, #Gashinge