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🔥14.11.25 SUD-KIVU: WAZALENDO AFFRONTENT M23-RDF –RUSHIMISHA/MURANVIA EN FLAMMES, BLESSÉS ABANDONNÉS Bonsoir chers téléspectateurs d’Afro Infos243 ! Merci beaucoup pour votre fidélité. Le petit frère de John Numbi, un haut gradé présumé du M23-RDF, n’est plus parmi nous. Il aurait été touché par une frappe de précision d’un drone des FARDC visant un convoi des militaires du M23 à Mweso, dans le territoire de Masisi. La frappe aurait ciblé le véhicule du commandant des troupes du M23 dans cette zone. Dans la République démocratique du Congo, dans les hauts-plateaux d’Uvira, précisément dans le groupement de Bijombo — chefferie des Bavira, village de Rushimisha/Muranvia — des affrontements violents ont été signalés ce vendredi 14 novembre 2025. Plusieurs sources locales indiquent que les groupes armés appelés Wazalendo et la coalition AFC–Twirwaneho–M23–RED‑Tabara–FNL–Zabampema se sont livrés des combats dans une zone déjà fragilisée par des tensions répétées. Ces hostilités ont provoqué une panique généralisée : femmes, enfants et personnes âgées fuient sans orientation claire, se réfugiant dans les collines et localités voisines. Plusieurs familles se retrouvent sans abri, sans nourriture ni assistance humanitaire, et lancent un appel urgent à l’aide. Des blessés abandonnés figurent également parmi les rebelles Twirwaneho et les déplacés. Voici les fausses allégations des rebelles du M23-RDF : « En 3 jours, 3 drones abattus pour une valeur estimée à 100 millions de dollars. » C’est faux : l’image utilisée provient du Mozambique et n’a aucun rapport avec la guerre du M23 en RDC. Il serait pertinent d’ajouter un appel à la vérification des faits : inviter les lecteurs à toujours croiser les sources et à recourir au fact-checking pour éviter la propagation de désinformations, surtout dans un contexte de conflit. RDC – Ituri : Un Officier FARDC Perd la Vie lors d’une Incursion d’un Groupe Armé à Mabanga (Djugu) — Questions sur la Reprise Rapide de l’Exploitation de l’Or. Dans la nuit du mercredi 13 novembre 2025, vers 21 heures, un groupe armé a attaqué une position des FARDC dans la localité de Mabanga, en territoire de Djugu. Lors de cette attaque, un officier de l’armée, de grade Capitaine, a malheureusement perdu la vie. Les assaillants se sont ensuite retirés, emportant l’arme de la victime. Ce drame nous pousse à demander à la hiérarchie militaire provinciale d’intensifier les opérations de recherche afin de neutraliser ces éléments encore actifs dans les villages proches de Mabanga. Alors que l’armée concentre déjà ses efforts sur le littoral du lac Albert, où les informations indiquent une forte réduction des activités de ce groupe armé, il est également essentiel de maintenir une vigilance accrue dans la zone minière, où l’exploitation de l’or a récemment repris après une décision du ministère des Mines. Je rappelle que, depuis 2023, nous avons œuvré pour obtenir la suspension temporaire de l’exploitation aurifère à Djugu, le temps que les différentes milices présentes dans la région soient totalement démantelées. Le Gouverneur militaire avait accepté cette demande en ordonnant l’arrêt des activités semi-industrielles. Cependant, lors d’une récente visite à Bunia, le Ministre des Mines aurait décidé de la reprise des activités, bien qu’aucun document officiel n’ait été rendu public, à ma connaissance. Quoi qu’il en soit, l’exploitation est bel et bien repartie sur le terrain. Une décision qualifiée de trop rapide, surtout dans un contexte où des groupes armés restent actifs et où une partie de leurs ressources provient historiquement de cette exploitation. Aujourd’hui, alors que ces groupes étaient en nette régression grâce aux efforts des FARDC, l’on constate un regain d’activité menant à des incidents tragiques comme celui survenu à Mabanga. Il apparaît évident que la reprise des activités aurifères dans la zone contribue à la résurgence de certains groupes armés. Plusieurs exploitants opérant dans cette région sont d’ailleurs mentionnés dans divers rapports internationaux pour leurs liens présumés avec des acteurs armés locaux. Sans étude approfondie ni mesures d’encadrement solides, l’autorisation de reprendre l’exploitation dans des zones comme Mabanga, Dala, Mbidjo, Pluto, Iga-Barrière, Lopa ou Nizi semble avoir été prise avec une certaine précipitation. Aujourd’hui que les conséquences se manifestent déjà, que les avancées obtenues pour stabiliser la zone sont fragilisées, une question demeure : qui assumera la responsabilité de cette décision et de ses impacts ?