Marathon Bardot, chapitre 20 : Brigitte Bardot, c’est… le chic absolu скачать в хорошем качестве

Marathon Bardot, chapitre 20 : Brigitte Bardot, c’est… le chic absolu

Marathon Bardot, chapitre 20 : Brigitte Bardot, c’est… le chic absolu. Quand on pense à Brigitte Bardot, je crois que l’on pense spontanément à l’époque de la BBmania, avec sa fameuse choucroute, ses tresses et ses rubans, ou au milieu des années 60, lorsqu’elle a inventé la femme moderne. Or, dans les années 1950, Bardot a aussi incarné le chic absolu, le « chic à la française » pourrait-on dire, une addition de son milieu bourgeois d'origine, son éducation, la beauté de son corps et de son visage, ses années de danseuse classique, et son bon goût évident dans le domaine de l'élégance. C'est même l'un des domaines par lesquels elle a merveilleusement incarné la femme française et même la France. Par exemple, sur cette photo, dans une robe chic mais à la coupe simple, sans bijoux, les bras fins et musclés, avec un chignon faussement négligé, on jurerait voir l'épouse d'un diplomate, d'un ministre ou d’un chef d’État, et non pas la jeune actrice délurée qui défrayait la chronique deux ans plus tôt, suite au scandale international provoqué par « Et Dieu créa la femme ». De même, en voyant son visage souriant dans la pénombre, le cou orné d’un collier, son élégance naturelle saute aux yeux. Il lui suffisait de peu pour être élégante : par exemple, cette robe sombre à manches longues et motif végétal, qui pourrait donner dix ans de plus à bien d’autres femmes ; un beau foulard noué sur la tête ; un chemisier rayé bien coupé, transformé en chemisette en remontant les manches, avec une jupe à motif, longueur genou, comme c’était la norme à l’époque ; un cardigan boutonné jusqu'au cou, très loin de ses spectaculaires décolletés, une longue jupe plissée sombre, des escarpins à talon, des créoles, un grand sac à main noir que l’on pourrait penser être de notre époque, et voilà une jeune fille impeccable, même les cheveux défaits. Un simple T-shirt à manches courtes et une longue jupe en coton à motif fantaisie suffisaient à la rendre chic, même sans avoir les cheveux attachés. Dans une robe rayée bayadère à manches longues toute simple, la beauté de son visage et sa magnifique tresse en faisaient une reine. Même engoncée dans un canapé, avec une robe assez austère à manches longues et col lavallière, un chignon décoiffé, des racines brunes apparentes, elle était pourtant d'une suprême élégance. Remarquons le joli bracelet triple à son poignet. Le dos droit dans un gilet bleu marine, elle est la plus élégante des lectrices, sur le tournage mythique du « Mépris ». On peut voir le même bracelet triple que sur la photo précédente. Quelques années plus tard, avec une petite robe toute simple à manches longues et motifs géométriques, ceinturée très finement assez bas, et de jolies chaussures fines à trois brides, elle est d'un chic absolu. Elle pouvait même être d'une élégance totale en portant un simple pull en laine claire à manches longues, cheveux détachés ou coiffés en très jolie tresse basse. Mieux encore : accroupie et de dos, position ingrate par excellence pour être photographié, elle arrive quand même à être totalement exquise, avec sa robe fleurie (à manches longues, une fois encore), escarpins à petit talon et très joliment dessinés, et large serre-tête clair sur sa chevelure de fée. Musique : « This time it’s over », par Crybaby. Les photos et la musique de cette vidéo ne sont pas utilisées à des fins commerciales. #Brigittebardot #BB #beauté #sixties #années50 #années60 #chic #élégance #mode #fashion