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Live d’Algérie Part avec Abdou Semmar : Un an après l'enlèvement d'Amir Boukhors, opposant algérien réfugié en France, l'enquête menée par les services secrets français pour trouver les commanditaires a mené directement au consulat d'Algérie de Créteil, a pu confirmer Algérie Part auprès de plusieurs sources françaises concordantes. L'affaire peut être même qualifiée d'un film d'espionnage. En avril 2024, l'influenceur et opposant algérien Amir Boukhors a été enlevé par de faux policiers, en France. Un dossier qui survient alors que les tensions diplomatiques entre Alger et Paris sont au plus haut. Trois personnes ont été mises en examen et placées en détention provisoire ce vendredi 11 avril à heure tardive de la nuit. Au fil de l'enquête menée à une brigade d'élite de la Police criminelle française et à la DGSI, le services du renseignement intérieur français, le lieu de la séquestration d'Amir Dz a été retrouvé (Pontault-Combault, en Seine-et-Marne), et quatre suspects sont placés en garde à vue mardi. Ceux-ci auraient reçu leurs ordres d'un membre du consulat algérien en France. Cet individu, sous couverture diplomatique et ainsi protégé par son statut, serait en réalité un officier des services secrets algériens, chargé de mener des opérations clandestines de représailles en France. Mais ça ne s'arrête pas là. Cet "espion" aurait recruté un fonctionnaire du ministère de l'Économie et des Finances (Bercy) - une "taupe" enrôlée notamment par la menace, afin d'obtenir des informations confidentielles sur les réfugiés et détenteurs de droits d'asile algériens vivant en France. Cette taupe avait en effet une liaison avec une employée de l'Ofpra, l'Office Français de Protection des Réfugiés et Apatrides, lui permettant de découvrir ces informations. Le fonctionnaire du ministère a été mis en examen pour "intelligence avec une puissance étrangère" et "livraison à une puissance étrangère d'information sur intérêt fondamental à la nation", dans le cadre d'une enquête parallèle. Au final, parmi les quatre mis en examen, trois personnes âgées d'une cinquantaine à soixantaine d'années, ont été mises en examen samedi 12 avril pour arrestation, enlèvement, séquestration ou détention arbitraire en relation avec une entreprise terroriste. Ainsi que pour participation à une association de malfaiteurs terroriste criminelle. "La question de l'immunité diplomatique se posera dans la procédure" pour l'espion algérien, a indiqué le parquet national antiterroriste (Pnat). Et pour cause, parmi les trois personnes incarcérées dans le sillage de cette grave affaire Amir Dz, il y a un fonctionnaire du Consulat d'Algérie à Créteil qui disposait effectivement d'un passeport de service et s'occupait, selon nos investigations, du contrôle du service de délivrance des visas au sein de ce consulat algérien. Cependant, un autre agent officiel de l'Etat algérien est cité nommément dans ce dossier hautement sensible. Il s'agit du consul adjoint au Consulat d'Algérie à Créteil qui, lui, a été rapatrié en urgence à Alger au mois de décembre 2024 car il avait été démasqué par les services secrets français et identifié comme étant le cerveau principal de l'affaire de l'espionnage du fonctionnaire de Bercy et de la très dangereuse affaire Amir Dz. Nos révélations.