Tartenpion - Mauvaise herbe (Clip) скачать в хорошем качестве

Tartenpion - Mauvaise herbe (Clip)

C'est avec joie que je vous partage le clip de mon morceau "Mauvaise herbe" Merci à toutes celles et ceux qui ont participé de près ou de loin à ce tournage. Merci à vous, vous qui ferez tourner cette douceur. Alvaro Romero à la réalisation : www.aromero.photo Chef opérateur : Léon Orlandi Assistant caméra : Bénédict Dupraz Technicien lumière : Nicolas Montcharvot Instrumental by Heritage Crew (Viciente):    / l'héritage crew   Un remerciement immense aux danseuses présentes pour le tournage. Paroles : L’amour une belle fleur fanée, barbare à la Fofana La fève du cacao, sauter du coq à l’âne, boursier comme CAC 40 Il ôte couleur un trèfle au milieu d’quatre carreaux Une mauvaise herbe sucrée sous la dent qui ranimerait caries Il fertilise terreau, parfois à frôler l’hystérie De la rose à dire d’la merde besoin d’un shot de listerine Et d’replanter l’histoire, là où l’amour a pris racine Mes feuilles sèches s’effritent comme miettes de pain rassis Une piètre opération, la salle vide d’un opéra Pousser la note entre deux échos, y’a que les murs qui l’entendront Je tends ma fleur, reste dans mon coin comme épagneul La tige de ma rose a sentis l’acier d’une danse à l’opinel Volonté opiniâtre qui n’cessera pas demain Je n’cesserai pas d’aimer même s’il arrive que l’amour change de main Douceur dans un iris, recevoir chaleur dans un beau bouquet J’ai vu pétale d’iris et mes yeux bloqués Il n’est pas si dur l’homme, à grand coup d’bêche on peut l’séduire J’ai vu de grands bonhommes verser une larme quand ils n’ont pas su dire Et les rôles s’inverser, une part de moi dans ces verserts J’ai détruits ma flore et en plus ai r’bu dans l’même verre sale Une mauvaise herbe dans son jardin secret, il serait temps de faire ménage En pleine fleur de l’âge, voir que la nature est sacrée Un sacré con qui d’mande une greffe du cœur Pas celui d’pierre on a passé l’âge pour s’la jeter L’espoir qui vient s’y rajouter, ôter l’écorce d’mon hêtre pour le voir rajeunir Un p’tit coup d’pouce pour se rajuster On n’mène plus la vie du mini pousse, le temps passe Et quand nos branches s’enlacent je garde la mine pensive Mais j’n’ai pas qu’ma tête à penser, ni mes quelques plaies De voir mon lit vide, juste un drap marqué d’quelques plis Dans la vie y’a pire que la rose et ses épines Bien que mal arrosée peut pas l’offrir, d’être bon qu’à rouler des épaules C’est l’attraction des pôles dans une caresse sur douceur de peau Sauvage comme orchidée arrachée dans la chaleur d’la paume C’est l’histoire de la pomme ou bien d’la bonne poire Et de par ce fruit que certains hommes sont devenus poireaux A croire à la paire, à la perle rare Victime de l’impaire tu dois répondre quand elle dit parle-moi Épargnez-moi vos serments, entre mes feuilles j’entends le vent qui siffle Murmures et vocifères, aigreur d’un café froid Mais l’espoir en carafe mon cœur ne s’tient pas à carreau Préfère tenter l’coup quitte à m’faire bouffer par zakariens C’est un risque, le retour de l’élastique comme jokari C’est comme dans l’cul parfois ça merde mais c’est des choses qu’arrivent Sourir sous douces caresses, éclatant paroles à douze carrat Un air de brute, une plume légère, les oies de Dooz Kawa Investir tout c’que t’as, sentir sécurité par l’attache d’un mousqueton Et prévenir piqûres par l’accroche d’une moustiquaire S’faire embrocher au flan à jouer l’mousquetaire Et lorsque le masque tombe besoin de la balle et de son mousqueton Un dernier tour de bluff où tu mises c’que t’as C’est l’hécatombe, ma fleur tombe et perd de ses pétales pour l’avenir c’est coton Tailler mon cœur au sécateur pour des sentiments carrés L’amour prend plus de place que quelques centimètres carrés J’ai perdu fortune à coup d’centime Pendant qu’des porcs redressent l’amour à coup d’ceinture, Ou les vingt centimètres les as-tu sentis ? D’un vide j’ai senti naître en moi un monstre qui ne mérite mot Mais qui peu à peu est devenu maître Eponger les maux à grand coup d’pinard, au crâne matraqué Les jambes fourmillent, pour la prochaine j’tacherai d’faire mieux Les envies dans le formol, demande au suicidaire à quoi bon s’faire mal Moche, t’as loupé ton cou alors qu’la corde aurait fait mouche C’est l’effet michto, à moitié froid comme Henri Michaux J’ai peints ce paysage aux larmes sur papier mâché Tartenpion – Mauvaise Herbe