У нас вы можете посмотреть бесплатно Tshisekedi révèle l'état catastrophique de l'armée congolaise или скачать в максимальном доступном качестве, видео которое было загружено на ютуб. Для загрузки выберите вариант из формы ниже:
Если кнопки скачивания не
загрузились
НАЖМИТЕ ЗДЕСЬ или обновите страницу
Если возникают проблемы со скачиванием видео, пожалуйста напишите в поддержку по адресу внизу
страницы.
Спасибо за использование сервиса ClipSaver.ru
Quand un chef d’État parle sans détour, quand les mots sont crus mais assumés, c’est souvent parce que le diagnostic est grave. Lors de son échange direct avec la jeunesse congolaise au gymnase du stade Tata Raphaël, le président Félix Antoine Tshisekedi Chilombo a livré l’un de ses discours les plus forts sur l’état du patriotisme en République démocratique du Congo. Un discours qui dérange, qui secoue, mais surtout qui oblige chacun à se regarder en face. Face aux jeunes, le Président est revenu sur ce qu’il a trouvé à son arrivée au pouvoir : une armée abandonnée, envoyée au front sans moyens, sans rations, sans encadrement digne de ce nom. Il a rappelé une vérité souvent oubliée : si la RDC tient encore debout, c’est grâce au sacrifice silencieux des soldats de troupe, capables de miracles malgré l’abandon. Restaurer leur dignité sociale, protéger leurs familles, assurer un minimum de sécurité aux dépendants des militaires n’était pas un luxe, mais une condition essentielle pour défendre la patrie. Mais le message central allait bien au-delà de l’armée. Félix Tshisekedi a pointé un mal plus profond : l’autodestruction nationale. Le manque de patriotisme n’est pas seulement extérieur, il est d’abord interne. Il se lit dans l’état de nos rues, dans l’abandon de Kinshasa autrefois appelée “Kin la Belle”, dans l’incivisme quotidien, dans le mépris du bien commun. Une ville qui faisait la fierté du continent est aujourd’hui le miroir douloureux de notre négligence collective. Autre fléau dénoncé avec force : la corruption. Un cancer qui ronge tous les secteurs de la vie nationale. Détourner l’argent de l’éducation, c’est assassiner l’avenir. Voler les fonds de la santé, c’est condamner tout un peuple à la maladie et à la misère. Le Président l’a dit clairement : ce ne sont pas seulement des chiffres, ce sont des vies brisées et un pays empêché de se construire. Cette rencontre avec la jeunesse n’était pas un simple discours descendant. Elle a été marquée par un dialogue réel, des questions directes sur l’emploi, l’entrepreneuriat, le financement des projets, la participation politique et l’éveil patriotique. Des jeunes engagés ont interrogé l’État sur la sécurité alimentaire, sur la réduction des coûts logistiques pour permettre aux produits agricoles congolais d’atteindre les marchés nationaux et internationaux. En réponse, Félix Tshisekedi a réaffirmé une vision stratégique : la diversification de l’économie. Trop longtemps dépendante des minerais, la RDC reste vulnérable aux agressions, aux prédations et aux chocs extérieurs. Le Président a rappelé que la plus grande richesse du Congo n’est pas sous le sol, mais dans ses ressources humaines, dans sa jeunesse nombreuse, créative et ambitieuse. Ce face-à-face au stade Tata Raphaël n’était pas un exercice de communication. C’était un appel à la responsabilité collective. Un rappel brutal mais nécessaire : aucun pays ne se construit contre lui-même. La sécurité, l’économie, la dignité nationale commencent par le patriotisme quotidien, par le refus de la corruption, par le respect du bien commun et par la mobilisation de la jeunesse autour d’un projet national clair. Cette vidéo vous plonge au cœur de ce moment clé, où vérité, autocritique et vision d’avenir se sont croisées. À regarder, analyser et partager, car l’avenir du Congo se joue aussi dans cette prise de conscience collective. #RDC #Tshisekedi #JeunesseCongolaise #Patriotisme #Afrique