У нас вы можете посмотреть бесплатно Intrusion de Drones sur Sites Nucléaires : on Débat Sécurité avec Max Von Croft! или скачать в максимальном доступном качестве, видео которое было загружено на ютуб. Для загрузки выберите вариант из формы ниже:
Если кнопки скачивания не
загрузились
НАЖМИТЕ ЗДЕСЬ или обновите страницу
Если возникают проблемы со скачиванием видео, пожалуйста напишите в поддержку по адресу внизу
страницы.
Спасибо за использование сервиса ClipSaver.ru
🌊 Learning Expedition Madère → Canaries → Madère avec Max Von Croft 👉 candidatez ici: https://www.scanderia.com/learning-ex... INTRODUCTION Des incidents récents impliquant des drones survolant des installations militaires sensibles en France soulèvent des interrogations sur la robustesse de la dissuasion nucléaire. La base de l'Île Longue, dans le Finistère, qui abrite les sous-marins nucléaires lanceurs d'engins, a été le théâtre de survols non autorisés, révélant potentiellement des failles dans les protocoles de protection. Ces événements s'inscrivent dans un contexte plus large de prolifération des technologies de drones, utilisés pour de l'espionnage ou des provocations, sans que les autorités ne parviennent toujours à identifier les responsables. L'opacité entourant ces intrusions alimente des doutes sur l'efficacité réelle des défenses, au-delà des annonces officielles. FAITS RÉCENTS Le 4 décembre 2025, cinq drones ont survolé la base de l'Île Longue vers 19h30. Les fusiliers marins ont activé des dispositifs anti-drones et procédé à des tirs, utilisant probablement des systèmes de brouillage comme le Nerod. Malgré ces mesures, aucun drone n'a été abattu ni récupéré, et les pilotes restent inconnus. Une enquête judiciaire a été ouverte, mais les détails restent flous. Un incident similaire s'est produit dans la nuit du 17 au 18 novembre 2025, avec un drone non identifié au-dessus de la presqu'île de Crozon, à proximité immédiate de la base. Ces survols rappellent d'autres cas en Europe, comme aux Pays-Bas sur la base aérienne de Volkel abritant des armes nucléaires américaines, où des tirs ont également échoué à neutraliser les engins. VULNÉRABILITÉS AUX DRONES AÉRIENS Les bases nucléaires françaises, malgré leur statut ultra-sécurisé, présentent des vulnérabilités face aux drones aériens. Ces appareils, souvent petits et discrets, peuvent approcher sans détection immédiate, collectant des images ou des données sensibles. Les essaims de drones compliquent les défenses, car les systèmes actuels peinent à gérer plusieurs cibles simultanément. Des discussions sur X mettent en lumière que les impulsions électromagnétiques, censées neutraliser les drones, sont inefficaces contre les modèles militaires renforcés. De plus, les grenades ou charges explosives portées par des drones pourraient endommager des infrastructures critiques, comme des sous-marins en maintenance. L'incapacité récurrente à intercepter ces intrus questionne la préparation réelle des forces, au-delà des exercices simulés. MENACES DES DRONES MARINS Au-delà des aériens, les drones marins représentent une menace croissante pour les bases sous-marines. Ces engins submersibles, capables de navigation autonome, pourraient approcher discrètement des quais ou des sous-marins amarrés, pour de la reconnaissance ou des sabotages. Des analyses partagées sur X soulignent que des pays avancés développent ces technologies, potentiellement pour tester les défenses occidentales. En France, la Marine nationale teste ses propres drones marins pour la surveillance, mais cela révèle aussi des lacunes : les systèmes de détection sous-marine, comme les sonars, ne repèrent pas toujours les petits drones silencieux. Des incidents internationaux, comme des survols près de ports chimiques, indiquent une stratégie d'usure, visant à épuiser les ressources de sécurité sans confrontation directe. MESURES DE SÉCURITÉ ACTUELLES La Marine française déploie des bataillons de fusiliers marins équipés de fusils anti-drones et de brouilleurs pour protéger l'Île Longue. Des tests récents incluent des drones embarqués pour la reconnaissance, avec une autonomie de trois heures et un rayon de 50 kilomètres. Pourtant, les échecs d'interception suggèrent que ces outils ne suffisent pas face à des drones sophistiqués. Sur X, des observateurs critiquent l'absence de solutions radicales, comme des réseaux de lasers ou des filets anti-drones, et pointent du doigt une dépendance à des technologies importées. La loi de programmation militaire prévoit des investissements pour moderniser la dissuasion, incluant les missiles M51.4, mais ces efforts se concentrent plus sur l'offensif que sur la défense contre les menaces asymétriques. PERSPECTIVES Ces incidents pourraient signaler une escalade dans les tensions géopolitiques, avec des acteurs utilisant des drones pour des opérations de renseignement ou de déstabilisation. Sans identification claire des responsables, les risques persistent : une intrusion réussie pourrait compromettre la crédibilité de la dissuasion nucléaire française. Ces événements soulignent que la sécurité des bases nucléaires dépend non seulement de la technologie, mais d'une anticipation des stratégies adverses, dans un monde où les drones redéfinissent les conflits. #MaxVonCroft #Urbex #IdrissAberkane #Politique #Polémique #Défense