Marine Le Pen défend ses FONCTIONNAIRES chéris ! скачать в хорошем качестве

Marine Le Pen défend ses FONCTIONNAIRES chéris !

✦ ACADÉMIE ✦ Découvrez mon travail : https://www.academiahomines.com/ ✦ COURS ✦ Formez-vous aux bases de l'économie : https://bit.ly/cours-six-lecons ✦ TEXTE DE LA VIDÉO ✦ Qui est surpris ? Quand on dit que le RN est un parti socialiste et que "la droite française est une gauche comme les autres", ce n'est pas pour rien. En plus, le nombre de fonctionnaires ne doit pas être diminué : c'est le STATUT même de fonctionnaire qui doit être supprimé. Je sais qu'un tel propos n'est pas audible en plateau, mais je ne fais que délivrer le principe libertarien à mon habitude. Tout signe d'étatisme est à éradiquer en raison de son caractère coercitif sur les individus et leurs propriétés. Les fonctionnaires devraient donc être sortis des structures étatiques en place pour se rediriger vers le marché, là où la richesse est VRAIMENT produite. Entendez-moi bien. Il ne s'agit pas de nier l'utilité sociale de certains fonctionnaires, c'est simplement que : 1. Toute utilité sociale n'est révélée que par le marché en concurrence via l'échange, pas au sein de l'État qui s'en extrait. À ce titre, il y a un PAQUET de fonctionnaires qui sont rétribués en monnaie sans apporter de valeur (leur travail ne serait pas socialement demandé sur le marché). 2. Le poncif à base de "nécessité de l'action publique et du rôle des fonctionnaires pour garantir le bien commun" ne tient pas un instant. C'est le marché qui permet de faire pression sur les prix et d'augmenter la qualité des services rendus. Le fonctionnaire est par définition au service de l'État et de ses missions, pas de la société. L'État vole et s'impose quand l'entreprise joue sa peau et propose. 3. Les fonctionnaires sont une charge pour les contribuables. Il est temps qu'ils deviennent des soutiens de l'économie en y participant. Enfin, l'expression "c'est un truc de droite" se fond bien dans sa stratégie de dédiabolisation. Elle souhaite éviter d'aborder une image trop libérale pour garder prêt d'elle son électorat bercé à l'étatisme.