HAMMAMET AUTREFOIS (MANKAI EZZEDINE) скачать в хорошем качестве

HAMMAMET AUTREFOIS (MANKAI EZZEDINE)

Hammamet d’autrefois (MANKAI EZZEDINE) (Couplet 1) Et quand Hammamet n’était qu’un village, un rêve posé sur la mer, Des barques dormaient sur la plage, bercées de vent et de lumière. La médina sur sa presqu’île, veillait comme un cœur en secret, Ses murs serrés, ses rues tranquilles, gardaient les pas du temps discret. (Refrain) Hammamet d’autrefois, je te revois, Avec tes voiles blanches dans le soir, Le sel, la brise, et nos mémoires, Et ton parfum d’amour et de foi. Hammamet d’autrefois, je te revois… (Couplet 2) Les pêcheurs tissaient l’horizon, de filets lourds de lendemains, Leurs gestes étaient des traditions, héritées de père en fils, des mains aux mains. Sidi Bouadid protégeait l’âme, près du rivage et des amers, Et dans le café Achiri, on partageait le pain, les larmes et la mer. (Refrain) Hammamet d’autrefois, je te revois, Avec tes voiles blanches dans le soir, Le sel, la brise, et nos mémoires, Et ton parfum d’amour et de foi. Hammamet d’autrefois, je te revois… (Pont / Passage) Les jardins ouvraient l’aube en fleur, Les vergers effleuraient la plage, On partait sur un âne, sans peur, Chercher le monde au-delà des nuages. La kasbah racontait des siècles, Aux vagues qui venaient s’y confier, Et la ville aux couleurs bibliques, S’étirait, sans jamais renier. (Couplet 3) Puis vinrent les pas des artistes, Klee, voyageurs, poètes, rois, Venus chercher la paix, l’invisible, Dans le bleu si profond de tes soirs. Et moi je cherche encore l’enfance, Dans tes ruelles, dans tes voix, Quand tu n’étais qu’un port de chance, Un paradis sans autre loi. (Refrain final – plus doux) Hammamet d’autrefois… je te revois, Ton cœur bat encore dans ma mémoire, Sous chaque pierre, sous chaque histoire, Sous chaque étoile de tes toits. Hammamet d’autrefois… Je t’aimerai jusqu’à la dernière fois