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RDC: Comme les USA, le Royaume Uni abandonne aussi Kagame – L’Empire du RPF s’effondre!

Le 9 juin 2025, le Royaume-Uni a marqué un tournant décisif en condamnant publiquement le soutien de Paul Kagame au groupe terroriste M23 en République démocratique du Congo (RDC). Lors d’une table ronde historique au Parlement britannique, présidée par Sir Gavin Williamson, des voix influentes ont dénoncé les violations des droits humains et l’agression rwandaise, appelant à des sanctions renforcées contre le régime du RPF. Ce revirement, de la part d’un ancien allié stratégique, signe l’isolement croissant de Kigali sur la scène internationale, alors que le mythe du « miracle rwandais » s’effondre sous le poids des crimes de guerre et des mensonges. Le soutien de Kagame au M23, reconnu comme une extension de l’armée rwandaise, est désormais un fait établi par les enquêtes de l’ONU, les ONG et les témoignages d’exilés rwandais. Les massacres de civils congolais, le pillage des ressources du Kivu et les violations des frontières ont épuisé la patience des puissances occidentales. Les États-Unis, l’Union européenne, l’Allemagne et la Belgique ont rejoint le Royaume-Uni pour imposer des mesures punitives : suspension de l’aide militaire, gel des avoirs, et arrêt des projets de développement. Kagame, acculé, répond par des menaces désespérées, mais son arrogance ne trompe plus personne. La rupture diplomatique du Rwanda avec des partenaires clés, comme la Belgique et la Communauté économique des États de l’Afrique centrale (CEEAC), illustre une fuite en avant suicidaire. En s’isolant, Kagame expose son pays à un effondrement économique : chute des investissements, suspension des aides, et fragilisation des secteurs vitaux comme la santé et l’éducation. Les cadres du RPF, militaires et technocrates, sont face à un choix crucial : continuer à soutenir un régime en perdition ou se dissocier avant que l’Histoire ne les juge complices des crimes de leur leader. La RDC, sous la présidence de Félix Tshisekedi, gagne du terrain sur le plan diplomatique. En collaborant avec Londres et en mobilisant ses ambassadeurs, Kinshasa s’impose comme un acteur respecté, défendant sa souveraineté avec détermination. La table ronde britannique, avec la participation de hauts responsables comme Tiffany Sadler et l’ambassadeur congolais Ngokwey Ndolamb, consacre cette légitimité. La RDC n’est plus une victime passive, mais une nation debout, soutenue par une communauté internationale de plus en plus unie contre l’agression. À l’intérieur du Rwanda, le vernis du culte de Kagame commence à craquer. La jeunesse, connectée et informée, questionne les guerres menées à l’étranger et la misère intérieure. Des figures comme Victoire Ingabire incarnent une alternative courageuse, malgré la répression. Le RPF, réduit à une organisation au service d’un seul homme, perd sa crédibilité morale et politique. Les sanctions internationales et les révélations sur les crimes de guerre accentuent la pression sur les cadres du régime, qui risquent de payer un lourd tribut s’ils persistent dans leur loyauté aveugle. Ce moment marque un basculement historique pour la région des Grands Lacs. La chute de Kagame, désormais inéluctable, ouvre la voie à une possible réconciliation, mais à condition que justice soit rendue. Le peuple rwandais mérite un avenir libéré de l’autoritarisme, tout comme le peuple congolais mérite la paix et la souveraineté. Le message du Parlement britannique est clair : l’impunité est terminée. Ceux qui s’accrochent à Kagame s’enfoncent avec lui, tandis que la RDC et ses alliés tracent la voie d’un nouvel ordre régional fondé sur la vérité et la justice. #Kagame #RDC #M23 #Sanctions #GrandsLacs