У нас вы можете посмотреть бесплатно VARICOCÈLE : POURQUOI L'EMBO-SCLÉRO EST-IL MEILLEUR ? или скачать в максимальном доступном качестве, видео которое было загружено на ютуб. Для загрузки выберите вариант из формы ниже:
Если кнопки скачивания не
загрузились
НАЖМИТЕ ЗДЕСЬ или обновите страницу
Если возникают проблемы со скачиванием видео, пожалуйста напишите в поддержку по адресу внизу
страницы.
Спасибо за использование сервиса ClipSaver.ru
Méthode Embo-Sclero pour la varicocèle (Embolisation + Sclérothérapie) La varicocèle est un type de varices qui se forment autour des testicules. Elle survient lorsque les valves des veines des testicules sont endommagées, ce qui fait que le sang reflue au lieu d'aller vers les poumons et de s'accumuler dans les testicules. Cela crée un problème de circulation qui perturbe l'alimentation des testicules et peut entraîner des problèmes tels que la douleur et l'infertilité au fil du temps. Idéalement, chez les patients atteints de varicocèle, la varicocèle elle-même et les veines défectueuses à l'origine du problème doivent être traitées. Cependant, les méthodes chirurgicales actuelles ne traitent qu'un seul de ces problèmes. Dans la chirurgie traditionnelle de la varicocèle, seule la veine à l'origine de la varicocèle est traitée, tandis qu'en microchirurgie, seule la varicocèle elle-même est traitée. Dans la méthode embo-scléro que nous avons développée aux cliniques Varisson, la varicocèle et les veines défectueuses qui la provoquent peuvent être traitées de manière non chirurgicale en une seule séance. Pour la thérapie emboloscléro, une petite incision est pratiquée dans la veine de l'aine sous anesthésie locale et un fin cathéter est inséré dans la veine rénale. Un colorant est injecté à travers le cathéter pour visualiser les veines et le patient est invité à forcer. À ce stade, le reflux sanguin de la veine défectueuse vers le testicule est observé sur l'écran angiographique, ce qui permet d'identifier précisément la veine problématique. Ensuite, un microcathéter très fin est avancé dans les veines de la varicocèle et une substance appelée mousse, qui rétrécit et assèche les varices, est injectée. Cette substance provoquera le rétrécissement des veines de la varicocèle et leur disparition éventuelle. Le microcathéter est ensuite rétracté et repositionné dans la veine à l'origine de la varicocèle, où une substance appelée colle est injectée. Cette colle va bloquer la veine, la faisant sécher et disparaître au fil du temps. Dans la procédure d'embo-sclérose, la sclérothérapie à la mousse appliquée sur la varicocèle pendant quelques minutes élimine efficacement les veines varicocèles, obtenant le même résultat que des heures de microchirurgie. Le traitement à la colle appliqué sur la veine à l'origine de la varicocèle ferme la veine et élimine la cause sous-jacente, reflétant les effets de la chirurgie traditionnelle de la varicocèle. Méthode Embo-Sclérose = Chirurgie Classique + Microchirurgie En conclusion, la méthode Embo-Sclérose réalise le travail de la chirurgie traditionnelle et de la microchirurgie en une seule séance non chirurgicale. La méthode, que nous appliquons avec succès dans nos cliniques de Varisson depuis des années, offre les avantages supplémentaires suivants : Réalisée sous anesthésie locale, permettant au patient de rentrer chez lui deux heures plus tard. Procédure complètement fermée par la veine de l'aine, sans points de suture ni incisions, et la zone génitale et les testicules restent intacts. Comme la veine problématique est identifiée avec précision, les veines et artères normales ne sont pas fermées accidentellement. Les complications telles que les douleurs à long terme, les infections et l'hydrocèle, qui peuvent survenir après une intervention chirurgicale, ne sont pas observées. La mousse et la colle sont absorbées par votre corps au fil du temps. Par conséquent, il ne reste aucun corps étranger après le traitement. Comme la varicocèle et la veine problématique sont traitées, le risque de récidive est faible. Dans les cas réalisés dans nos cliniques depuis 2014, aucune récidive n'a été observée.