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✦ ACADÉMIE ✦ Découvrez mon travail : https://www.academiahomines.com/ ✦ COURS ✦ Formez-vous aux bases de l'économie : https://bit.ly/cours-six-lecons ✦ TEXTE DE LA VIDÉO ✦ En France, il y a : plus de 350 000 personnes sans-abri 4 millions de personnes dites mal logées 12 millions qui sont fragilisées par la crise du logement Voir le dernier rapport de la Fondation Abbé-Pierre. Dans le même temps, l'État fait la guerre aux logements qui ne correspondent pas à son agenda vert (rouge). Par le biais de la loi climat et résilience promulguée le 22 août 2021, le gouvernement français semble avoir fait de l’éradication des passoires énergétiques un enjeu majeur. Mais au lieu d'aider qui que ce soit, cette intervention répand la misère. À chaque fois, l'État accumule les erreurs et banalise l'absurdité. Partout où il pense pouvoir nous gouverner, il crée des effets pervers. Pourquoi ? Parce que son intervention fausse les signaux de prix et perturbe l'allocation des ressources. En fait, l'ordre économique naturel s'articule autour des échanges de titres de propriété. De cette harmonie économique émergent des prix libres, qui sont le produit spontané du marché. Ces prix permettent le calcul économique, qui aide chaque acteur à allouer ses ressources en fonction des signaux du marché. Comme le disait Mises : « Là où il n’y a pas de marché, il ne peut y avoir de prix monétaires, et là où il n’y a pas de prix monétaires, il ne peut y avoir de calcul économique. ». En intervenant arbitrairement sur le marché par le biais de la législation, l'État brise cette harmonie. Il ne peut jamais savoir combien coûte réellement une mesure ni quels seront ses effets secondaires. Chaque ressource dirigée par l’État est alors soustraite à un usage plus efficace sur le marché. Par la suite, ses diverses interventions créent un problème nécessitant de nouvelles interventions, menant à une spirale infernale d’interventions réduisant toujours plus le champ de la propriété privée. La mécanique est d'autant plus perverse qu'elle permet à la classe dominante de se (re)légitimer tout en profitant de l'inculture et de l'apathie des masses, trop occupées à boucler leurs fins de mois et à réclamer davantage d'État. Dans le cas présent, l'État interdit la location de logements qui ne passent pas le tamis de ses exigences énergétiques. La construction de nouveaux logements est également entravée par la réglementation folle. Ce faisant, l'offre de logements disponibles diminue mécaniquement. Or, selon la loi de l'offre et de la demande, une diminution de l'offre entraîne une hausse des prix. Ainsi, au lieu de rendre le logement plus accessible, cette réglementation aggrave la crise déjà induite par l'État et précipite davantage de personnes dans la précarité. De leur côté, de nombreux propriétaires sont incités à retirer leurs biens du marché plutôt que d'investir dans des rénovations coûteuses. Les incertitudes juridiques et la perspective de nouvelles lois dissuadent également les investisseurs. Face à ces restrictions, les locataires les plus précaires sont contraints de se tourner vers des logements potentiellement insalubres, sous les radars de l'État. Voyez comment l’intervention de l’État, loin de protéger qui que ce soit, produit une myriade d'effets qui poussent les plus vulnérables dans des situations intenables. Et ça n'est que ça, partout et sans arrêt.