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Fernand de La Tombelle - CRUX (partie 2) Trilogie sacrée (1898-1903) [audio + score] скачать в хорошем качестве

Fernand de La Tombelle - CRUX (partie 2) Trilogie sacrée (1898-1903) [audio + score] 4 месяца назад

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Fernand de La Tombelle - CRUX (partie 2) Trilogie sacrée (1898-1903) [audio + score]

00:00 Prélude 02:49 Récit (ténor solo) 04:53 Chœur (sopranos) 08:01 Intermède orchestral 11:45 Chœur À propos de Fernand de La Tombelle : Compositeur dont des travaux redécouvrent l’œuvre avec bonheur depuis quelques années, le Baron Fernand de La Tombelle (1854- 1928) était un musicien célébré et respecté de son vivant. Etonnant touche-à-tout, il fut à la fois pianiste, organiste, compositeur, pédagogue, poète, peintre, photographe, astronome, féru de choses aussi diverses que l’archéologie, la cuisine, les bicyclettes et autres automobiles. Après avoir été l’élève de sa mère, elle-même ancienne élève de Thalberg et Liszt, La Tombelle reçut l’enseignement de l’organiste Alexandre Guilmant (1837-1911). Par la suite, c’est au conservatoire de Paris que le compositeur s’instruira sous la houlette de Théodore Dubois (1837-1924) puis en leçons privées auprès de l’illustre Camille Saint-Saëns (1835-1921) qui marquera durablement son esprit. La Tombelle sera pianiste officiel aux concerts du Trocadéro dès leur création par Guilmant pour l’Exposition Universelle de 1878. Il restera également de nombreuses années organiste assistant de Dubois et Fauré à la Madeleine ainsi que de Guilmant à la Trinité. En 1896, on le retrouve lors de la fondation de la Schola Cantorum aux côtés de Vincent d’Indy, Charles Bordes et Alexandre Guilmant ; il y sera professeur d’écriture pendant une dizaine d’années. En tant que compositeur, son souci de la forme ainsi que la clarté de ses idées en font un digne représentant du classicisme romantique français. Il abordera, à l’exception du grand opéra, quasiment tous les genres, et cela en quantité. Dans la première partie de sa vie, une place particulière peut être attribuée à sa musique de chambre (il remporta d’ailleurs le prix Chartier de l’Institut en 1896 pour celle-ci) ou encore à sa musique chorale. Avec l’âge, la musique religieuse prendra une place de plus en plus importante dans sa production, par l’écriture d’oratorios et de cantates. À propos de l'œuvre : Crux, trilogie sacrée pour soli, chœur mixte, chœur d’enfant, orchestre et orgue, marque cette étape charnière dans l’œuvre de La Tombelle. Il s’agit du premier et du plus développé des oratorios de l’auteur. Et pourtant, la genèse de l’œuvre ne laissait pas forcément présager une destinée aussi importante. La commande fut faite au musicien avant 1898 par le vicaire général d’Arras, Monseigneur Deramécourt, qui souhaitait une musique afin de commémorer la reconstruction d’un calvaire. Mais le temps passant, ce qui ne devait être qu’une pièce de circonstance devint une véritable œuvre d’envergure dont on put entendre quelques courts extraits à Paris dès 1898 et à l'Exposition Universelle de 1900 puis en première audition partielle à Bordeaux en 1901 et création complète avec orchestre à Cognac en 1903. Par la suite, les exécutions se contèrent par dizaines du vivant de l’auteur, tant en France qu’à l’étranger. La première partie de l’œuvre évoque la vie des hommes autour du pieux monument. Le calvaire fait partie du quotidien et se trouve être un élément familier pour la population, rythmant les moments de joie et de peine de l’existence. Ainsi, paysans, soldats, citadins, mais aussi perclus et désespérés viennent se recueillir devant cette croix symbole d’unité. En fin de partie la voix du christ (évidemment un solo de baryton) vient bénir et guérir l’assemblée. Un chœur angélique d’enfants a cappella conclut la partie. Le centre de la composition, plus court mais plus intense, décrit la destruction du calvaire en un vaste poème symphonique cataclysmique qui n’est pas sans parenté avec Le Déluge (1875) de Camille Saint-Saëns. Sur ces ruines sonores, le chœur entonne le Parce Domine, et bientôt les voix, comme épuisées, se raréfient de plus en plus. Une impression de néant achève cette section. La troisième partie appelle progressivement à la renaissance et, des ruines, le sacré peut ressortir enfin glorieux. Le triomphe, savamment préparé par l’orchestre, éclate avec l’apparition du Lauda Sion chanté par le chœur et auquel la puissance de l’orgue vient s’ajouter. Les hommes, entourant de nouveau la croix, chantent une berceuse mystique pour le Christ. Ce moment de contemplation laisse place à une prière pour le pardon des fautes passées qu’expriment trois solistes. Un chœur céleste et la voix du Christ se répondent pour remercier les hommes. Symbole d’amour et de gratitude, le chœur final porte avec force et triomphe la louange vers le ciel. (édition réalisée d'après les conducteurs d'orchestre manuscrits des éditions Biton, Saint-Laurent-sur-Sèvre / partition chant-piano des archives La Tombelle / numérisation du Palazzetto Bru Zane / simulation audio Noteperformer4)

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