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MÂLOUF TUNISIEN PARIS. Pour la Sauvegarde, la Revalorisation et la Promotion du Patrimoine Musical et Artistique de Tunisie. Notre association « MÂLOUF TUNISIEN PARIS » est engagée sur un chemin culturel ambitieux, attachée à la tradition de la pratique musicale du répertoire maghrébo-andalou de Tunisie, nous mettons tous nos moyens afin de concrétiser cet amour à cette musique pour la faire découvrir, redécouvrir et la partager. Grâce à un travail acharné et de grande valeur humaine et professionnelle Nous sommes en mesure d’exister dans une cohérence de groupe qui peut prétendre à un avenir musical de qualité. Ahmed-Ridha ABBÈS Mâlouf Tunisien Paris Merci Yassine SNOUSSI pour ta précieuse Collaboration Traduction en français du texte de la Nouba : Traduction de Mohamed Chafik GOUJA Nouba Eththîl A b y â t Nostalgique, la passion m’a convié à la porte de votre prestige Je courus hâtif pour vous approcher et par votre proximité me réjouir Je jure que jamais de votre amour, mon cœur ne s’est égaré Et que nullement autre que vous, il n’a jamais aimé B t â y h i L’affection, entre mes côtes je l’ai plantée Et de mes flots de larmes, je l’ai arrosée Mais, le jour de la moisson, comment pourrais-je m’en détacher ? T â l a ’ : Que mon petit cœur affligé patiente Ce n’est que par la persévérance que l’on peut être apaisé Rujû’ (Retour) : De mon bien aimé, je serai récompensé B a r o u e l (1) La liqueur de l’amour m’a enivré Etourdi, mon ami, elle m’a laissé Les grandes vertus m’ont surélevé Elles m’ont enseigné comment aimer Mon œil m’a véritablement querellé Lorsque, mon petit aimé, elle a contemplé T â l a ’ : La vive rougeur de sa joue m’a envouté A une bougie éblouissante, je l’ai comparée Rujû’ (Retour) : Svelte inégalable, ainsi qu’une tigelle Tout ce qui parvient me harcelle B a r o u e l (2) Réveille-toi, Ô serveur Remplis les coupes et réitère Les oiseaux ont chanté Du haut des branches, ils ont gazouillé Les cordes commencent alors à vibrer Lève-toi, donne -moi ce verre dévergondé T â l a ’ : Les esprits s’en trouvent enjoués Ô toi, à la démarche si appréciée R u j û ’ ( R e t o u r ) : Qu’ils sont beaux ces verres Quand par l’après-midi, le soleil jaunit B a y t : Qu’ils sont beaux ces verres Quand mon bien aimé devant moi surgit Quand les sons des luths foisonnent Nul n’est autant que moi d’amour séduit Ô toi que la passion enflamme Que le ferment des vignes nous soit préparé T â l a ’ : Les esprits s’en trouvent enjoués Ô toi, à la démarche si appréciée R u j û ’ ( R e t o u r ) : Qu’ils sont beaux ces verres Quand par l’après-midi, le soleil jaunit D r a j Des perles, son sourire dévoile De sa brise, jaillit le parfum. Autant qu’un croissant, il est réticent Comme la pleine lune, il est intimidant B a y t : Quelle Antilope apprivoisée Par qui je suis tant captivé Sa salive, au miel je l’ai comparée Son vif regard, me fait exciter Quel bien aimée elle est Son sourire, des gouttelettes il fait dévoiler T â l a ’ : Pour le lien, il est cupide Pour l’abandon, il est indulgent R u j û ’ ( R e t o u r ) : Mon corps n’est plus qu’illusion Affligé que je suis, rien ne sert d’espérer K h f i f B a y t ( 1 ) : De quoi fus-je coupable, par l’amour de Dieu ? Mon cœur s’engouffre dans une marée sans plage Tes yeux noirâtres, que douleurs ils m’infligent T â l a ’ : Ô gazelle capricieuse L’ivresse m’a emporté, je ne m’en soucie guère B a y t ( 2 ) : Que peux-tu être belle, heureuse ! Quand de ta voix tu chantonnes, gracieuse ! Et que les flacons tu ranges, méticuleuse ! T â l a ’ : Que de bols, que de splendeur R u j û ’ ( R e t o u r ) : L’ivresse m’a emporté, je ne m’en soucie guère B a y t ( 3 ) : Vers les hauteurs des palais tu m’as entraîné Les parfums de musc les plus raffinés, tu m’as fais exhaler Tout ce que j’avais dans l’esprit, je finis par le réaliser T â l a ’ : Nous passâmes alors une nuit tranquille R u j û ’ ( R e t o u r ) : L’ivresse m’a emporté, je ne m’en soucie guère K h a t m Camarades de la cité La nostalgie vers vous a trop duré Je dis que l’affection ne peut trahir Et de ma part, me taire je ne puis supporter Mon âme, mon corps elle a quitté Torturez-moi, ne vous souciez guère, continuez T â l a ’ : Tout ce que vous m’infligez N’est qu’indifférence, refus et mépris R u j û ’ ( R e t o u r ) : Ma souffrance, en vous elle a augmenté Je n’ai plus d’issue autre que persévérer