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Le Laboratoire d’Analyse des Politiques de Développement (LAPD) avait organisé, jeudi 27 février 2025, un panel sur le thème « Politiques publiques et financement durable : le défi de l’architecture financière internationale actuelle ». Animée par d’éminents experts sous la modération du Pr Ahmadou Aly Mbaye, professeur d’économie et de politiques publiques, cette rencontre avait réuni les professeurs Babacar Sène, Birahim Bouna Niang et Marième Ndoye, ainsi que Alioune Tine et Ida Mc Donnell. Les discussions ont porté sur les difficultés liées aux flux d’emprunts internationaux, aux investissements directs étrangers, aux flux d’aides publiques au développement, ainsi qu’à la faiblesse de l’épargne domestique et aux obstacles à la mobilisation des ressources internes. « Nous avons voulu adresser toutes ces questions en même temps et nous avons réuni un panel diversifié où chaque intervenant prenait en charge une problématique spécifique », a expliqué Pr Ahmadou Aly Mbaye. L’objectif de cette rencontre était d’éclairer l’opinion sur les défis du financement des politiques publiques auxquels le pays est confronté. L’économiste a rappelé que la réalisation des investissements nécessaires au développement requiert des ressources financières considérables. Or, la plupart des pays africains dépendent fortement des financements extérieurs pour couvrir leurs dépenses budgétaires et faire face aux crises de paiement. « Il faut savoir que s’il y a une crise de balance des paiements, la conséquence immédiate est une difficulté à importer. Dans des économies où l’on importe pratiquement tout ce que l’on consomme, cela pourrait être catastrophique », a-t-il averti.