Denise Zaneza dévoile la vérité cachée du génocide rwandais et GENOCOST en RDC. скачать в хорошем качестве

Denise Zaneza dévoile la vérité cachée du génocide rwandais et GENOCOST en RDC.

Imaginez un monde où l’histoire officielle n’est qu’une façade masquant une vérité plus sombre. En 1994, le Rwanda a été plongé dans un cauchemar souvent réduit à un simple génocide. Pourtant, Denise Zaneza nous pousse à regarder au-delà des apparences, révélant une tragédie qui a débuté bien avant cette date et dont les échos persistent encore. Elle remet en question le récit dominant porté par Paul Kagame et le FPR, suggérant qu’il est incomplet, voire biaisé. Cette exploration promet de bouleverser ce que vous pensez savoir sur le Rwanda, le génocide et les blessures toujours vives dans la région des Grands Lacs. Tout a commencé en 1990, lorsque les soldats du FPR Inkotanyi, menés par Kagame, ont déclenché une guerre qui a ravagé le Rwanda. Selon Zaneza, cette offensive a semé les graines d’une horreur bien plus profonde que ce qu’on nous raconte habituellement. Quatre ans plus tard, l’assassinat du président Habyarimana et de son homologue burundais Ntaryamira a déclenché une vague de violence sans précédent. En moins de 100 jours, des centaines de milliers de vies ont été perdues. Mais cette tragédie ne s’est pas limitée au Rwanda : elle s’est propagée à l’est du Congo, où des millions d’autres ont péri dans un silence assourdissant, alimenté par la convoitise des richesses minières. Zaneza souligne que la mémoire collective est brisée. On présente souvent le génocide rwandais comme un événement isolé, mais elle insiste sur les voix oubliées et les vies détruites bien au-delà des frontières rwandaises. Au Congo, des villages ont été anéantis, des femmes violées par milliers, et des enfants enrôlés comme soldats. Ces atrocités, loin d’être des accidents, étaient motivées par la quête de ressources comme l’or, le coltan et l’étain. Des richesses qui auraient dû enrichir des nations ont invece financé des massacres, tandis que le monde détournait les yeux. Ce qui rend son témoignage troublant, c’est l’idée que ces horreurs étaient intentionnelles. Zaneza parle de crimes de guerre, de génocides, de crimes contre l’humanité, orchestrés pour le pouvoir et le contrôle des ressources congolaises. Pendant ce temps, Kagame a construit une image de sauveur, mettant fin au génocide au Rwanda. Mais à quel coût ? Pourquoi les victimes congolaises restent-elles ignorées ? Elle accuse le régime rwandais de réécrire l’histoire pour se blanchir, tandis que la communauté internationale préfère une vérité simplifiée à une réalité complexe et dérangeante. Pourquoi cela devrait-il vous concerner ? Parce que ce silence perpetue une injustice. Alors que le Rwanda de Kagame est célébré pour sa stabilité, des millions de Congolais pleurent leurs morts sans justice. Les tribunaux ont puni certains responsables, mais d’autres, protégés par le pouvoir ou l’indifférence, échappent aux conséquences. Zaneza met en lumière une fracture : d’un côté, le FPR revendique avoir sauvé le Rwanda ; de l’autre, les massacres au Congo, documentés par l’ONU, sont minimisés. Elle appelle à une justice équitable, qui n’efface pas la moitié des victimes sous prétexte de commodité politique. Enfin, Zaneza relie cette tragédie aux ressources du Congo, comme le coltan qui alimente nos technologies. Pendant que des multinationales profitent du chaos, le rôle du Rwanda dans cette crise reste flou dans le discours officiel. Elle nous défie de voir la vérité en face : le récit de Kagame est une construction fragile, masquant des crimes transfrontaliers. Ignorer cette réalité, c’est condamner les victimes à l’oubli. Pour elle, la paix véritable exige de reconnaître toutes les souffrances – rwandaises et congolaises – et de confronter l’impunité, même si cela signifie remettre en question un régime intouchable. #Rwanda1994, #VéritéCachée, #CrimesDeGuerre, #CongoOublié, #Justice