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Juillet 2011, alpinisme, escalade, montagne... Voie Bonatti Ghigo au Grand Capucin... Nicolas Potard enchaîne en libre le mur de 40 mètres en 7a+ de la Voie Bonatti Ghigo au Grand Capucin... Chamonix Mont Blanc massif... Merci à Simon Paris et à Raphaël Bonnet... Voie de 350 mètres soutenue en 7a+ max pour le Mur de 40 mètres. Première ascension par Walter Bonatti (21 ans) et Luciano Ghigo du 20 au 23 juillet 1951. VIDEO de la Bonatti Ghigo : • Voie Bonatti Ghigo Grand Capucin Chamonix ... VIDEO interview Thierry Renault Grand Capucin : • Le Grand Capucin Voie Bonatti Ghigo témoig... VIDEO interview Jean-Claude Droyer Grand Capucin : • Le Grand Capucin voie Bonatti Ghigo Jean C... PLAYLIST Grand Capucin, Petit Capucin, Le Trident du Tacul, La Chandelle du Tacul : • Grand Capucin Petit Capucin Trident du Tac... Soutien en bitcoin pour tvmountain : bc1q2t23e36c8l6h5kf4ekng4qllpwfyreznzmxgg9 Abonnement youtube tvmountain : / @tvmountain Soutenir tvmountain avec Tipee : https://fr.tipeee.com/tvmountain tvmountain : https://www.tvmountain.com #escalade #rocher #montagne #alpinisme #grandcapucin #chamonix #courmayeur #voiebonattighigo #walterbonatti #escaladelibre #murde40metres #granite #fissure #montblanc Points géographiques marquants. Combe Maudite, 3300 mètres. Grand Capucin, 3838 mètres. Histoire (https://fr.wikipedia.org/wiki/Grand_C...) Pendant des décennies, la succession de multiples petits surplombs présents un peu partout sur la paroi contribua à la réputation d'inaccessibilité de cette paroi. Le sommet lui-même fut gravi pour la première fois par son versant occidental en 1924 par Enrico Augusto, Adolphe Rey, Henri Rey et Louis Lanier, qui s'aidèrent d'une perche et de crochets. Il faudra ensuite attendre 25 ans pour que Walter Bonatti décide de s'attaquer à l'impressionnante face Est. Ayant trouvé un coéquipier de Monza, Camillo Barzaghi, tous deux entreprennent l'ascension le 24 juillet 1950 mais, surpris par un orage dans les premières longueurs, ils sont contraints de renoncer. Trois semaines plus tard, Bonatti, qui trouve un nouveau compagnon de cordée en la personne de Luciano Ghigo, repart à l'assaut du Grand Capucin. Bénéficiant d'une météo moins capricieuse que lors de la première tentative, les deux alpinistes parcourent une grosse partie de l'ascension durant les trois premiers jours. Malheureusement, au troisième bivouac, les éléments se déchaînent à nouveau avec le vent et la neige qui font leur apparition. Ils essayent néanmoins de terminer leur projet mais butent sur une difficulté digne de la réputation du Grand Capucin, une dalle de quarante mètres aussi lisse que verticale (6C+). Une nouvelle fois encore, la décision est prise de battre en retraite et ils effectuent une descente qui s'avèrera longue et périlleuse, équipés de cordes en chanvre gelées. Il faudra attendre une année et une troisième tentative pour venir à bout de ce sommet. C'est le même tandem qui récidive le 20 juillet 1951 et cette fois, il leur faut seulement deux jours pour parcourir la distance déjà ouverte l'année précédente. Ils franchissent alors le fameux « mur » de quarante mètres et se retrouvent une nouvelle fois face à une tourmente météorologique qui les oblige à bivouaquer dans des conditions très précaires. La journée complète du lendemain sera nécessaire pour gagner le sommet et rejoindre le refuge Torino dans la nuit et la tempête. Cette voie se nomme désormais voie Bonatti, la première du nom. Cet exploit sera l'occasion pour Walter Bonatti d'utiliser pour la première fois en haute montagne les techniques d'escalade artificielle testées dans les Dolomites dans les années 1930. Certains alpinistes dévalorisent sa performance en critiquant la logistique de ses ascensions, trop de pitons, trop de ferraille qui dénature le côté sportif de l'escalade. S'ensuivit un débat sur la notion d'équipement dans lequel Bonatti défendait sa vision de l'alpinisme. De nos jours et après des progrès considérables sur l'équipement des grimpeurs, quasiment la totalité des voies ouvertes dans le Grand Capucin sont accessibles sans pratique de « l'artif ».