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Église Saint Jean Baptiste Roquemaure

n'oubliez pas après avoir visionné la video de mettre un pouce et surtout de vous abonner à ma chaîne merci Collégiale Saint Jean Baptiste et Saint Jean l'Evangéliste Collégiale d'architecture gothique provençale abritant les reliques de Saint Valentin. La collégiale de Roquemaure est un témoignage du savoir-faire des bâtisseurs du Moyen Age et un témoignage de leur grande spiritualité. Voulue par le Cardinal Bertrand de Pouget, neveu de Jean XX (second pape d’Avignon) elle fut commencée en 1329 et terminée en 1335.Au début du XIVe siècle, l’architecture romane (inspirée des romains) du Midi de la France subit l’influence du style gothique venu du Nord.Ce nouveau style n’est pas accepté d'emblée, si bien que nous avons un mélange des deux architectures que les historiens ont défini comme : le gothique méridional.Par contre une grande importance est accordée aux symboles numériques.Aujourd’hui nous en ignorons souvent le sens et notre église a subi de telles transformations que le sens des symboles voulus par leurs bâtisseurs n’apparaît pas à première vue.Visite du village : vestiges de l'ancien port, donjon, façade de l'Hôtel de Ville, de la Maison du Cardinal, de la maison de Placide Cappeau, compositeur du célèbre "Minuit Chrétien", chapelle. Ce qu'il faut savoir : La collégiale de Roquemaure est un témoignage du savoir-faire des bâtisseurs du Moyen Age et un témoignage de leur grande spiritualité. Voulue par le Cardinal Bertrand de Pouget, neveu de Jean XX (second pape d’Avignon) elle fut commencée en 1329 et terminée en 1335. Au début du XIVe siècle, l’architecture romane (inspirée des romains) du Midi de la France subit l’influence du style gothique venu du Nord. Ce nouveau style n’est pas accepté d'emblée, si bien que nous avons un mélange des deux architectures que les historiens ont défini comme : le gothique méridional. Par contre une grande importance est accordée aux symboles numériques. Aujourd’hui nous en ignorons souvent le sens et notre église a subi de telles transformations que le sens des symboles voulus par leurs bâtisseurs n’apparaît pas à première vue. La collégiale abrite depuis 1868 les reliques de Saint Valentin, saint patron des amoureux, ainsi qu'un bel orgue datant du XVIIe siècle, classé au registre des monuments historiques depuis 1969. La collégiale, de style gothique méridional, est construite au XIVe siècle hors les murs, sur le jardin du Roi. Elle est tout d’abord une église fortifiée, et le clocher actuel n’est autre que l’ancienne tour de guet. Son aspect extérieur massif, avec ses contreforts, ne laisse en rien deviner son intérieur élancé. Les prouesses techniques du gothique permettent de déplacer les forces de poussée et rendent ainsi possible l'élévation de la structure. Voulue par le cardinal Bertrand de Pouget, sa construction débute en 1329 et en 1346 elle est élevée au rang de collégiale. Dix chanoines sont logés dans l’actuelle rue du chapitre. Ils rejoignaient la collégiale attenante par un pont. Une tour abrite un escalier en colimaçon qui permettait aux ecclésiastiques de rejoindre ce pont. A l’entrée de l’église, on peut admirer le baptistaire qui provient de l’ancienne église Sainte-Marie, qui était située au château, et qui fut restauré au XVIIe siècle. La collégiale abrite les reliques de saint Valentin arrivées en 1868 à la suite d’une mission catholique. Bien que leur acquisition par un riche propriétaire viticole soit postérieure à l'épisode du Phylloxéra, la légende veut que depuis elles protègent les vignes. Elle recèle une étonnante quantité de tableaux de qualité, de style ou école Caravage, Vélasquez (le christ en croix), un Grève… L’oculus est présent au début de la construction mais les autres vitraux apparaissent au XIXe siècle. On peut remarquer la présence d’un saint, saint Ludivicus, qui n’est autre que saint Louis. Son orgue baroque, fabriqué en 1690 par les Frères Julien à Marseille en bois de carolin, est classé au titre des Monuments Historiques. Le célèbre chant " Minuit chrétien " fut joué pour la première fois en 1847 sur cet orgue. Le texte est l’œuvre d’un Roquemaurois : Placide Cappeau, proche du Félibrige et de son fondateur, Frédéric Mistral. La musique est composée par Mr Adam, et la cantatrice était Mme Laurey, épouse de Mr Laurey, ingénieur parisien qui participa à la construction du pont suspendu, et ami de Placide Cappeau. L’organiste est Mme Blairat, Roquemauroise de la famille du peintre Marcel Blairat. https://www.tourismegard.com/roquemau... https://avignon-tourisme.com/activite... https://www.journees-du-patrimoine.co... https://vm.tiktok.com/ZMdPE3rUH/   / nosregionsde.  .   / 29936.  .   / nos_belles_.  .