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Rééducation : La maladie d’Osgood Schlatter La maladie d’Osgood-Schlatter se caractérise par une douleur de la tubérosité tibiale antérieure qui touche principalement l’adolescent sportif en pleine croissance. Cette pathologie reste bénigne si le jeune patient respecte bien le repos, seul traitement avéré efficace pour éviter les complications telles que l’arrachement de la tubérosité tibiale antérieure. TRAITEMENT KINESITHERAPIQUE : -consiste à supprimer les contraintes de l’appareil extenseur sur la tubérosité tibiale et de soulager les douleurs. -Ensuite, il s’agit d’optimiser ce temps de repos sportif nécessaire à la guérison afin de permettre à l' adolescent de revenir à la compétition le plus rapidement possible. Cela passera bien évidemment par veiller à ce qu’ils respectent bien les délais de repos et ne fasse pas d’autres activités sportives ou de loisirs tous aussi contraignants sur l’appareil extenseur du genou. -Pour soulager les douleurs, le kinésithérapeute effectue un « massage au glaçon de la T.T.A. » et recommande de la « cryothérapie 3 fois par jour ». -Ensuite, il peut utiliser « l’électrothérapie antalgique de basse fréquence au niveau du genou et dorso-lombaie -« Des mobilisations de la rotule vers le bas, le bas et le dedans, le bas et le dehors » permettent d’entretenir ou d’augmenter la mobilité de l’articulation fémoro-patellaire ainsi que de soulager la tension existante sur le tendon rotulien. Ces mobilisations peuvent être aidées par une contention souple d’abaissement de la rotule ayant comme objectif « d’abaisser la patella afin de détendre le tendon patellaire et de permettre la mise au repos de celui-ci» . Cette contention permettra probablement de diminuer les contraintes mécaniques mais à ma connaissance, aucune étude n’a encore montré ou démontré l’efficacité de ce genre de contention dans la maladie d’osgood-schlatter. Exercices de « travail musculaire des 4 faces de la cuisse controlatérale et du triceps sural » A trois semaines de l’arrêt sportif, si les douleurs ont diminué, un « travail statique du quadriceps homolatéral en course interne » permettra de limiter l’amyotrophie et la perte de force musculaire. -A six semaines, ce muscle sera travaillé en« course moyenne, associé à l’application d’excito-moteur pour fibres lentes ou au biofeedback » -Puis, si on se souvient bien ce qui a été évoqué précédemment, deux éléments s’affrontent dans cette pathologie : la croissance et le sport. « La croissance allonge les membres et le sport renforce et raccourcit les muscles » . Il semble donc nécessaire de réaliser un « étirement progressif du droit fémoral homolatéral en abaissant la rotule, associé à des techniques de massage, décordage du corps musculaire » Mais il faudra également adopter une « correction posturale »afin d’aller dans le sens de l’allongement, donc de la croissance. -Après avoir subi pour une partie du traitement et travailler pour une autre, le jeune patient doit repartir chez lui avec des repères de ce qu’il doit faire ou pas, ainsi que de savoir effectuer quelques exercices à son domicile afin de lui permettre de prendre pleinement possession de sa rééducation. Il convient donc de lui « apprendre la réalisation de la contention d’abaissement de la rotule ainsi que les techniques de stretching du droit fémoral et des ischio-jambiers » . Bien entendu, le thérapeute lui aura expliqué en préambule sa pathologie et les risques qui existent s’il ne modifie pas son quotidien sportif. Le repos sportif doit donc être « dirigé : car la poursuite d’activités sportives, tels que le vélo, la natation ou le rameur, est en général permise et non préjudiciable » Ce jeune sportif devra « éviter la flexion maximale du genou » afin de ne pas contraindre la T.T.A. et devra « arrêter toute activité s’il y a réapparition des douleurs » Pendant sa séance, le kinésithérapeute ne devra en aucun cas utiliser « d’ultrasons au niveau de la T.T.A. car il s’agit de cartilage de croissance », et l’étirement du droit fémoral ne devra jamais se faire« à partir du tibia » sous peine de trop contraindre la T.T.A. et risquer ainsi d’exacerber les douleurs,l’inflammation et d’engendrer des complications.