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Abonnez-vous pour suivre tous nos reportages @LeReportageChocDes Reportages choc tous les jours ! Les gangs de bikers, nés aux États-Unis, sont aujourd'hui implantés partout dans le monde. Derrière le folklore des grands rassemblements de motards, ces groupes, structurés comme des organisations paramilitaires, sont pour certains considérés par la police comme des gangs criminels. Rites d'initiations, culte du secret, aux Etats-Unis les Hell's Angels et les Bandidos, les plus mythiques de ces groupes, seraient impliqués dans divers trafics et sont étroitement surveillés. En Allemagne ou au Danemark, Hell's et Bandidos s'opposent violemment. Ils auraient pu se contenter du côté pittoresque de la chose : tatouages et blousons de cuir noir. Mais eux ont choisi de tout prendre, jusqu’au mode de vie hors la loi. Les « bikers » patchés « 1 % » sont considérés par les autorités comme appartenant à des « groupes criminels organisés ». Si la France a longtemps été épargnée par les affrontements meurtriers entre clubs, plusieurs indices laissent penser que cette époque est révolue. Il y a d’un côté le folklore made in USA. Celui des grosses Harley Davidson, du rock aux guitares saturées et des tatouages. De l’autre, cet univers sous-terrain, en rupture de ban et qui assume fièrement sa marginalité. Celui des bikers « 1 % », ces motards bardés des couleurs de leur « MC », leur Motorcycle Club, sur leur blouson. Ils ont leurs propres codes, leurs propres rites et ne répondent qu’à une seule loi : celle de leur club. Pour se distinguer des autres fans de moto, ils arborent, brodé sur leur gilet en cuir, un patch (écusson) « 1 % ». Manière de dire que, si 99 % des motards sont honnêtes, eux s’inscrivent ouvertement parmi les 1 % restants. Des loubards revendiqués, aussi craints que respectés, héritiers de cette culture yankee des années 1940 incarnée par Marlon Brando dans le film The Wild Ones (l’Équipée sauvage), qui popularisera la figure du mauvais garçon à bécane. Une œuvre directement inspirée par les émeutes de Hollister, en Californie, lors du rassemblement moto Gypsy Tour de l’American Motorcyclist Association, en juillet 1947. Après le traumatisme de la Seconde Guerre mondiale, certains Américains, dont une partie a servi dans l’armée, refusent de rentrer dans le rang. Ex-soldats et jeunes marginaux révoltés se regroupent au sein de clubs outlaws littéralement des « clubs hors la loi ». Ce sont ces jeunes gens aux looks résolument agressifs qui se distingueront à Hollister, en faisant le coup de poing dans les bars et en affrontant les forces de l’ordre. Rapidement, l’un de ces clubs outlaws va prendre le pas sur les autres. #documentaire #reportage #gang