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On commence dans le dur, dans les souterrains du réacteur, à ramasser les miettes d’une embuscade, et direct on comprend : la guerre a déjà commencé. C’est pas une guerre spectaculaire, pas encore, mais elle est là. Sourde, souterraine, sale. Mourasaki est mort. Encore un nom sur la liste. Et pendant que l’équipe remonte à la surface, c’est pas juste la mission qui avance, c’est l’ombre de Sephiroth qui s’épaissit. On le voit pas, mais il est là. Dans chaque coin de pièce, dans chaque hésitation de Cloud. ⚡️Retrouve-moi en direct live sur Twitch : 👉 / kinokoremi Et puis on entre dans le manoir de Nibelheim. Ah, le Manoir… Rien que le nom suffit à faire frissonner n’importe quel joueur du FFVII original. Sauf que là, c’est pas juste du fanservice. C’est un piège. Littéralement. Le manoir est hanté par une IA vieille école, mi polie mi flippante, qui a l’air de prendre plaisir à foutre le boxon. Et puis surtout… on tombe sur Vincent Valentine. Et là, mec. C’est plus un épisode, c’est un pèlerinage. Vincent, c’est l’incarnation vivante de la mémoire refoulée. Le gars dort dans un cercueil, déjà. Il parle comme un roman gothique. Mais surtout, il sait des choses. Il sait que Sephiroth est une erreur. Il sait que la Shinra est une machine à broyer l’âme. Et il les a vus faire. Il a aimé, il a perdu, il s’est fait trahir, et maintenant il veille. Un mort-vivant dans une maison morte. Et malgré ça, il ouvre la porte. Il file la carte d’accès. Parce qu’il voit dans Cloud et les autres la possibilité d’un rachat. Pas pour lui. Pour le monde. Et pendant ce temps, dehors, c’est la révolution. Glenn entre en scène avec son message en mode contre-attaque télévisée. Et là, tu sens le basculement. C’est plus juste une quête perso, c’est le soulèvement global. La Shinra a tiré avec le canon de Junon, le gouvernement provisoire envoie son message de guerre, et toi t’es là, paumé entre un temple oublié et un monde qui explose de l’intérieur. Mais c’est pas fini. Parce que même si t’as Vincent, même si t’as les données, même si tu sais que la matéria noire est la clé… eh ben non. Il faut un autre objet. Une pierre-clé. Et où est-ce qu’elle serait cette foutue pierre ? Gold Saucer. Le parc d’attractions. Le lieu de la dissonance. L’endroit le plus fun dans un monde qui s’écroule. Et j’adore que le jeu t’amène là maintenant, comme un contrepoids au manoir. Comme un rappel que dans ce monde, le drame et la dérision se croisent constamment. Et enfin, il y a cet échange tout doux, tout simple, entre Cid et Aerith. Cid qui se souvient avoir vu Aerith petite. Il l’a croisée, comme un spectateur du destin. Et là, dans ce moment suspendu, il lui demande s’il peut faire quelque chose pour elle. Et Aerith, toujours droite, toujours forte, lui dit non. “Continue juste de piloter.” C’est rien, mais c’est tout. Parce que c’est ça, FFVII Rebirth. Des fragments de souvenirs, des gens qui croisent nos routes, et chacun joue un petit rôle dans cette gigantesque pièce cosmique. 00:00 - Intro 04:40 - le manoir de la shinra 09:45 - Vincent Valentine, gardien des lieux 18:50 - Vers le Temple des Anciens 26:20 - Glen, le soulèvement et la guerre 32:25 - Retour à la lumière