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L’affaire du 4 mars 2012 a été mise sur le compte de Marcel Ntsourou, lequel n’avait pas voulu assumer les crimes du Beach à la demande de Sassou Nguesso. Le Colonel Marcel Ntsourou mort empoisonné à la maison d'arrêt de Brazzaville le 17 février 2017 s'était confié au Forum sur la réalité de la tragédie du 4 mars 2012 et sur l'affaire du beach. L'implication abusive et contestée par le Colonel Ntsourou est une manoeuvre de Sassou Nguesso afin de conserver son pouvoir au-delà de la fin de son dernier mandat prévue en 2016, puisque Marcel Ntsourou devait soutenir la désobéissance civile. Le droit à la vérité, proclamé par l'Assemblée générale des Nations Unies le 21 décembre 2010 en ce qui concerne les violations flagrantes des droits de l'homme et de violations graves du droit humanitaire et pour la dignité des victimes, doit prendre son sens sur les faits que nous relatons et présentons en toute objectivité. L'opinion publique a le droit de connaître la vérité absolue et complète quant aux événements qui ont eu lieu, aux circonstances spécifiques qui les ont entourés, et aux individus qui y ont participé, y compris les circonstances dans lesquelles les violations ont été commises et les raisons qui les ont motivées c'est pourquoi le réseau FRTDH fait l'évocation de la tragédie du 4 mars 2012. Voici 10, les zones d'ombre existent, la fameuse commission n'a jamais rendu publique ses conclusions les victimes et les sinistrés des arrondissements de Ouénzé et Talangaï de Brazzaville n'ont jamais été indemnisés et relogés. La série d’explosions a causé la mort de plus de 6500 Congolais et étrangers. Le pouvoir de Sassou a minimisé le nombre des victimes, en déclarant un chiffre dérisoire de près de 300 victimes. Après avoir suivi les témoignages de Hervé Zébrowski et de Jo Washington Ebina nous vous présentons la version enregistrée et racontée par le Colonel Marcel Ntsourou qui a subi un anarchement de la part d'un pouvoir clanique. Sassou et son clan des tribalistes mboshis évoluent en dehors de la légalité, violant ainsi les normes et principes de la république. Le Colonel Ntsourou Marcel avait demandé pardon le 03 mars 2012 aux parents de toutes les victimes occasionnées par les troupes sous son commandement, le 02 mars 2012, jour de son anniversaire et un jour avant les déflagrations de Mpila le 04 mars 2012 . En effet pendant l’accomplissement de ces crimes du Beach, il a été de ceux qui ont attiré l’attention des officiers sur la tendance à confondre la volonté parfois crapuleuse des chefs et la loi. Voici sa déclaration « Je leur demandais de faire attention à ne jamais exécuter d’ordres illégaux ; mais il y a une faiblesse chez les cadres militaires et civils congolais. » « Ma rupture avec Monsieur Sassou est définitive (…) Je ne peux plus approcher cet individu jusqu’à ce qu’il abandonne le pouvoir en 2016 ». Être officier c’est avant tout être légaliste, c’est connaître et ne suivre que la loi. L’armée est apolitique et un officier ne peut se mêler des intrigues politiques d’où qu’elles viennent, même d’un président. L’officier doit avoir le courage de refuser des ordres illégaux ou à tendance politique, quelle que soit sa position. Ce que n’a pas pu faire Mondjo et pour sa dignité, après une telle compromission, il devrait démissionner. Mais peut-il avoir ce courage ? Non et c’est dommage pour les forces armées congolaises et la gendarmerie. Depuis cette affaire du 4 mars et même pendant que s’accomplissaient les crimes du Beach, j’attirais l’attention des officiers, sur la tendance à confondre la volonté parfois capricieuse des chefs et la loi. Je leur demandais de faire attention à ne jamais exécuter d’ordres illégaux ; mais il y a une faiblesse chez les cadres militaires et civils congolais : celle qui consiste à privilégier la volonté de l’autorité par rapport à la loi et c’est sur cela que monsieur Sassou Nguesso compte, en entrainant les cadres à enfreindre la loi pour exécuter ses volontés mafieuses." Puis le Colonel Ntsourou cite un exemple en ces termes : « En son temps, j’ai eu à le dire au chef d’État-major Ndoulou. Je lui ai dit ceci : « Mais vous signez toujours les directives opérationnelles, quelle est la base juridique de ces directives ? Vous ne devriez agir que sur la base des directives stratégiques du commandant en chef ; or je constate que, nous n’avons jamais eu une seule directive de ce genre. Ce qui signifie que demain, quand le problème de cette guerre sera posé au niveau de la Nation, il pourra dire « moi, je n’ai jamais engagé les forces armées dans la guerre ». « Montrez-moi, un seul document signé de Sassou ». Voyez-vous, dans cet engagement qui a duré 5 ans, qui a provoqué la mort des soldats, des miliciens, des populations civiles et autres ; là où il devait plus qu’ailleurs engager sa responsabilité, il évite sciemment de le faire et il en est ainsi dans beaucoup d’autres cas. » Genève le 06 septembre 2022 à 12 h06 Maurice Massengo-Tiassé