У нас вы можете посмотреть бесплатно RDC–Rwanda: Violents affrontements à Walungu et Rutshuru entre Wazalendo et RDF M23 или скачать в максимальном доступном качестве, видео которое было загружено на ютуб. Для загрузки выберите вариант из формы ниже:
Если кнопки скачивания не
загрузились
НАЖМИТЕ ЗДЕСЬ или обновите страницу
Если возникают проблемы со скачиванием видео, пожалуйста напишите в поддержку по адресу внизу
страницы.
Спасибо за использование сервиса ClipSaver.ru
La journée du 20 novembre 2025 restera l’une des plus explosives dans l’Est de la République démocratique du Congo. Alors que les regards du monde se tournent ailleurs, la population du Sud-Kivu et du Nord-Kivu vit une réalité brutale, marquée par des affrontements violents, des déplacements massifs et une résistance héroïque menée par les patriotes Wazalendo face aux incursions agressives de l’armée rwandaise et de ses supplétifs du M23. Ce reportage spécial d’Africa Flashes vous plonge au cœur de la crise, avec des témoignages, une analyse géopolitique claire et une chronologie détaillée pour comprendre l'ampleur de cette nouvelle escalade. Dès les premières heures du matin, des explosions secouent Walungu, Mugogo, Tiagala, Kanyola, plongeant des milliers de civils dans la terreur. Les habitants décrivent un ciel obscurci par la fumée, des maisons éventrées et une atmosphère lourde où chaque minute compte. Les combats ont atteint une rare intensité, notamment aux abords de Walungu-centre, où les Wazalendo ont repris plusieurs collines stratégiques, bouleversant les plans de l’ennemi et déclenchant une contre-offensive rwandaise particulièrement violente. La vie économique est paralysée, les routes coupées, la RN2 bloquée, et des centaines de familles se trouvent coincées dans leurs habitations. Plus au nord, dans le territoire de Rutshuru, la situation est tout aussi critique. À Kitunda, dans la chefferie de Bwito, les attaques coordonnées du Rwanda et du M23 violent ouvertement les engagements diplomatiques. Les patriotes, dirigés par le général autoproclamé Dominique Ndaroué, tentent de protéger la population dans un contexte humanitaire déjà catastrophique. Des maisons incendiées, des villages abandonnés, des écoles désertées : les civils fuient vers Mweso, Ganzale et d’autres localités encore relativement stables. Les scènes décrites sont glaçantes, rappelant la réalité d’une guerre d’agression qui ne dit pas son nom. Les chiffres sont alarmants : plus de 2 138 ménages déplacés déjà accueillis dans le territoire de Walikale, soit environ 11 690 personnes, dont une majorité de femmes et d’enfants. Accueillis dans les aires de santé de Burungi, Kilambo, Busurungi, Katambira, Mianga, Malembé ou encore Karé, ces déplacés ont fui les affrontements entre l’armée congolaise et les forces rwandaises qui, malgré les condamnations, continuent d’opérer en toute impunité. Les familles d’accueil partagent le peu qu’elles possèdent, mais les besoins explosent : nourriture, abris, soins médicaux, protection. Cette réalité prend une dimension encore plus poignante en ce 20 novembre, Journée mondiale des droits de l’enfant. Une date censée célébrer la protection, la dignité et l’avenir de chaque enfant. Et pourtant, dans les zones occupées, les jeunes du Nord-Kivu grandissent parmi les bruits de bombes, les déplacements forcés et l’absence totale de sécurité. Leurs droits les plus fondamentaux — éducation, santé, protection — sont piétinés par les ambitions régionales d’un régime rwandais qui continue de semer la mort et l’instabilité. Face à cette situation, le gouvernement congolais du président Félix Tshisekedi poursuit ses efforts diplomatiques et militaires pour défendre la souveraineté nationale. Sa fermeté face aux agressions, son engagement pour la paix et sa détermination à protéger les citoyens donnent espoir à des millions de Congolais. Ce reportage d’Africa Flashes vous offre un récit complet, humain et engagé, pour comprendre ce qui se joue réellement à l’Est du Congo. Partagez, commentez, diffusez : la vérité doit circuler, car la paix commence par la conscience collective. #RDC #AfricaFlashes #Walungu #Wazalendo #StopRwanda