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↓↓↓ [PAROLES DANS LA DESCRIPTION] ↓↓↓ J’te dois rien — Pour ceux qui ont tout construit sans rien devoir à personne. Un hymne à l’indépendance, la résilience, pis le respect de soi. Dans la vie comme dans la rue, chaque victoire est arrachée, chaque cicatrice est méritée. Marche droit, lève la tête, pis retiens une chose : j’te dois rien. #RapQueb #Indépendance #Respect #StreetMentality #JteDoisRien [Paroles] Trop souvent, on croit qu’on nous doit tout. Mais la seule vraie dette, c’est envers soi-même. J’ai grandi contre le vent, chaque pas forgé dans l’adversité Personne m’a bâti, chaque cicatrice, j’les ai gagnées On m’a appris à marcher droit même quand la route penche À bâtir du solide dans l’ombre, à tracer ma branche J’ai vu trop d’mains tendues cacher des chaînes Trop d’sourires masquer la faim, trop d’promesses qui saignent J’me suis perdu à vouloir plaire, j’me suis trouvé dans l’manque C’est dans l’froid d’la rue qu’la vérité tranche Chaque choix laisse une marque, chaque erreur me relève J’ai rien demandé, tout c’que j’ai, je l’ai conquis à la sueur La loyauté, c’est d’garder la tête haute même si l’avenir craque J’te dois rien, sauf de rester droit, peu importe l’impact J’te dois rien, retiens-le, j’ai saigné pour chaque dollar Chaque bras tendu voulait m’noyer, j’compte plus les coups d’poignard C’que j’ai dans l’ventre, c’est la rue, c’est la faim, c’est la nuit J’te dois rien, même à terre, j’me relève, l’orgueil me suit J’te dois rien, retiens-le, j’ai saigné pour chaque dollar Chaque bras tendu voulait m’noyer, j’compte plus les coups d’poignard C’que j’ai dans l’ventre, c’est la rue, c’est la faim, c’est la nuit J’te dois rien, même à terre, j’me relève, l’orgueil me suit On m’a appris à calculer la valeur des gestes Le respect, c’est pas du crédit, c’est la somme de tes pertes Dans un monde où l’aide se monnaie, l’indépendance est rare J’garde mes distances avec ceux qui manipulent la barre Fais pas semblant de m’soutenir si tu comptes les dividendes J’vois la vérité dans les silences, j’entends l’envie dans les tendances La rue enseigne l’humilité, pas la rancune Si t’as jamais partagé la galère, t’es pas d’mon infortune Les rumeurs tournent, les masques tombent, l’honneur reste La liberté, c’est d’pouvoir dire non, la tête haute, sans geste J’te dois rien, pas même une seconde de doute Mon parcours s’est écrit dans l’vrai, jamais dans l’flou J’te dois rien, retiens-le, j’ai saigné pour chaque dollar Chaque bras tendu voulait m’noyer, j’compte plus les coups d’poignard C’que j’ai dans l’ventre, c’est la rue, c’est la faim, c’est la nuit J’te dois rien, même à terre, j’me relève, l’orgueil me suit Y’a des jours où la solitude vaut plus que la compagnie J’ai appris qu’la paix, c’est d’savoir qui reste quand tout s’enfuit Briller c’est pas dominer, c’est survivre à l’obscur Chaque échec m’a appris à réfléchir avant d’courir Les vraies dettes sont invisibles, elles se paient en conscience Chaque rêve forgé dans l’épreuve devient résistance J’suis pas ici pour prouver, mais pour avancer droit Même si tout vacille, j’ai l’honneur pour toit J’te dois rien, sauf la vérité que j’crache sans détour Ma victoire, c’est marcher droit, peu importe le parcours J’te dois rien, retiens-le, j’ai saigné pour chaque dollar Chaque bras tendu voulait m’noyer, j’compte plus les coups d’poignard C’que j’ai dans l’ventre, c’est la rue, c’est la faim, c’est la nuit J’te dois rien, même à terre, j’me relève, l’orgueil me suit J’te dois rien, retiens-le, j’ai saigné pour chaque dollar Chaque bras tendu voulait m’noyer, j’compte plus les coups d’poignard C’que j’ai dans l’ventre, c’est la rue, c’est la faim, c’est la nuit J’te dois rien, même à terre, j’me relève, l’orgueil me suit