У нас вы можете посмотреть бесплатно H-Tône feat Eveil - Trône или скачать в максимальном доступном качестве, которое было загружено на ютуб. Для скачивания выберите вариант из формы ниже:
Если кнопки скачивания не
загрузились
НАЖМИТЕ ЗДЕСЬ или обновите страницу
Если возникают проблемы со скачиванием, пожалуйста напишите в поддержку по адресу внизу
страницы.
Спасибо за использование сервиса ClipSaver.ru
Voici un second clip, avec lequel on vous annonce la date de sortie du deuxième album du projet H-Tône feat Eveil ! "Orage, O.D. d'espoir" sortira le 9 Mars ! On a hâte de vous montrer ça ! Instru : Eveil Texte : H-Tône image et montage: Eveil Enregistrement : BelR Studio Mixage et mastering : Sans E Un grand merci à Marie et Philippe, du Théâtre de la Foret d'Orient, de nous avoir accueilli dans leurs locaux, pour le tournage des images de ce clip Texte : On a bâtit des trônes pour y poser des culs On en à botté, des culs, autant qu’on a pris des taules On a pâtit des taules, s’est aplatit dessus Et en est ressortit des tonnes au moins en partie déçus Faute achetée est à moitié comprise Et c’est surtout qu’il faut pas jeter l’eau du bain dans les orties On s’revend des couverts en s’relevant des coups durs Plus on s’revendique ouvert, plus on est con comme des clôtures Rêve de temps fécond fait qu’on lui sème des heures On connaît la chanson mais on répète les mêmes erreurs Plus on est amer, plus on s’amarre à des tribuns Et si on fait d’la merde c’est qu’au moins, ça, on l’fait bien Se fout bien des autres et du reste. Qui peut bien nous ôter du respect ? Le doute est déjà dans la beauté du geste quand s’agit de jeter du leste Derniers resteront dernier. Nul ne fait l’accueil Les portes resteront fermées pendant qu’le ciel nous fait la gueule Le temps pleut. Une flaque sur la tombe Et voila qu’les actes nous rattrapent ; un flingue sur la tempe Une frappe sur la table qui fait voler les verres. Revers qui fera peu sur l’attaque de qui préfère voter des maires de merdes On a bâtit des trônes, ainsi qu’les boules à y poser Hélas, parce qu’il est drôle de voir des foules ainsi bosser Et s’imposer ce qu’il fallait bien rendre à César Mais qui n’appartient qu’au passé et valait bien qu’on dresse des armées Foutons-nous sur la gueule tant qu’on ne fracasse que d’autres pauvres Qui fracasser d’autre qu’eux ? On en chialera sur d’autres épaules On tourne en rond dans un bocal qu’on a construit En tournant on laisse des écailles mais n’oublie pas ce qu’on a compris Rien. Du vide. C’est, de loin, ce que l’on retient, ouais, c’est au moins ce qui nous remplit Rien. Du vil. C’est aux bases que l’on revient. Reviens. Quand est-ce que l’on rempile ? Est-ce qu’on s’émancipe ? Seulement salement s’aime, on s’quitte Sauvant ce qui peut. C’est vrai, askip, le sevrage pique. On sauvera si peu s’il pleut Sur les craintes, ça va pas faire pousser l’espoir Histoire de croire qu’on y est pour rien, on regarde en fait passer l’histoire On a bâtit des trônes, et puis des dieux, et puis des maîtres Et chacun à remplit son rôle autant qu’il a vidé sa tête Puis on a atterrit là. Et peut-être qu’il fallait ça pour voir Que le problème, c’est pas qui l’a, non. Le problème, c’est le pouvoir Les trônes, on s’en fout bien, comme des culs qui s’y sont vissés Dès lors qu’ils procurent rien d’autres qu’un endroit où s’poser Fi des cages dorées d’avant, sache qu’il en est qui ne prient rien et qui ne veulent plus, dorénavant, ni dieux, ni maîtres, ni tribuns