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La guerre menée par Paul Kagame en République Démocratique du Congo (RDC) est orchestrée par une élite rwandaise au détriment de la jeunesse du pays, sacrifiée pour des intérêts privés. La mort de Ndayambaje, chef des renseignements des Forces de Défense du Rwanda (RDF) à Bunagana, et la victoire des Wazalendo sur la route Rwindi-Kibirizi marquent un tournant décisif. Cette embuscade réussie par la résistance congolaise illustre la résilience d’un peuple déterminé à défendre son territoire face à un régime rwandais en perte de contrôle, révélant les failles d’une armée autrefois redoutée. Dans l’Est de la RDC, les combats incessants révèlent le coût humain de cette guerre d’agression. Des centaines de jeunes Rwandais, manipulés par un discours patriotique fallacieux, tombent pour enrichir une élite à Kigali. La mort de Ndayambaje dans une embuscade sur la route Rwindi-Kibirizi, un axe stratégique, montre que les RDF ne sont plus invincibles. Cette opération des Wazalendo, menée avec précision, transforme les déplacements des forces rwandaises en véritables pièges, ébranlant leur domination dans la région. Depuis les années 1990, le Rwanda exploite méthodiquement l’Est de la RDC, profitant des faiblesses des anciens régimes congolais, notamment sous Joseph Kabila. Ce dernier a toléré, voire facilité, l’infiltration rwandaise au sein des Forces Armées de la RDC (FARDC), affaiblissant la défense nationale. Aujourd’hui, sous l’impulsion du président Félix Tshisekedi, des réformes visent à purger l’armée de ces traîtres. Une offensive coordonnée, combinant FARDC et Wazalendo, pourrait bientôt libérer les territoires occupés, marquant un changement radical dans la dynamique du conflit. Les Wazalendo, composés de citoyens, d’anciens militaires et de villageois, incarnent la résistance populaire face à l’invasion rwandaise. Leur rôle crucial a empêché la chute de villes stratégiques comme Goma, Uvira et Bunagana. En sabotant les lignes ennemies et en menant des embuscades, ils redonnent espoir à une population abandonnée par le passé. Leur succès contre Ndayambaje prouve que l’appareil de renseignement rwandais, jadis redouté, est désormais vulnérable, envoyant un message fort à Kigali. La résistance à Uvira, où les FARDC et les Wazalendo ont repoussé les assauts répétés des RDF, illustre la nouvelle dynamique de la RDC. Cette ville stratégique, convoitée pour son accès au lac Tanganyika, reste sous contrôle congolais, bloquant les ambitions de Kagame de créer un couloir pour le trafic illégal de ressources. Ce succès, combiné à la réorganisation des FARDC sous Tshisekedi, montre que le pays n’est plus la proie facile des années Kabila, mais une nation en voie de redressement. La communauté internationale commence à ouvrir les yeux sur les exactions du M23 et du Rwanda, grâce aux rapports des Nations Unies et à la mobilisation de la diaspora africaine. Kagame, qui justifie son agression par des préoccupations sécuritaires, perd en crédibilité. Pendant ce temps, Tshisekedi renforce la souveraineté congolaise par des réformes militaires et une diplomatie offensive. La mort de Ndayambaje symbolise ce réveil national, annonçant une ère où la RDC, portée par sa jeunesse et ses combattants, reprendra son destin en main. #RDC #Wazalendo #Kagame #Bunagana #Résistance