Savez-vous ce que devient votre ARGENT ? Âmes sensibles s'abstenir ! скачать в хорошем качестве

Savez-vous ce que devient votre ARGENT ? Âmes sensibles s'abstenir !

✦ ACADÉMIE ✦ Découvrez mon travail : https://www.academiahomines.com/ ✦ COURS ✦ Formez-vous aux bases de l'économie : https://bit.ly/cours-six-lecons ✦ TEXTE DE LA VIDÉO ✦ France Travail a récemment fait scandale grâce au travail d'enquête de Sarah Knafo. Je vous invite maintenant à prendre du recul et à comprendre que ces mécanismes spoliateurs se retrouvent à tous les niveaux dans la sphère publique. Pour aller vite, voici le schéma d'exploitation du citoyen : 1. Première spoliation : la ponction fiscale et monétaire L’État commence par confisquer la richesse créée par les individus et les entreprises à travers : L’impôt sur le revenu : en 2023, il a rapporté plus de 82 milliards d’euros (20,8 % des recettes fiscales de l'État). La TVA : taxation indirecte sur chaque transaction. Les cotisations sociales : ponction massive sur les salaires bruts. L’inflation monétaire : vol déguisé par la dévaluation de la monnaie, conséquence de la création d'argent ex nihilo. J'oublie évidemment plein de petites choses, mais voyez bien qu’avant même de pouvoir décider de son utilisation, notre argent nous a déjà été confisqué tandis que celui que nous gardons est continuellement érodé par l’inflation. Mais attendez, ce n'est que le début... 2. Seconde spoliation : la loi de Bitur-Camember La loi de Bitur-Camember stipule que chaque unité de richesse volée sera détruite en raison des luttes politiques qu'elle engendre. Concrètement, cela signifie que l’argent ne part pas immédiatement vers les "services publics". Il alimente d'abord un écosystème de prédation où l’on retrouve : Des démarches administratives toujours plus lourdes servant à justifier la gestion de l’argent public. Du lobbying, de la corruption, du clientélisme et de l'influence pour obtenir des subventions, des marchés publics et divers avantages. De la propagande politique pour justifier l'existence de ce système lui-même, notamment à travers l’éducation nationale et les médias d’État. Ici encore, j’oublie plein de petites choses, mais le schéma est clair : l’État ne crée pas de richesses, il incite à leur captation et à leur spoliation. Son intérêt est de multiplier les bénéficiaires de la redistribution forcée pour garantir sa propre survie. 3. Redistribution politique : financement du millefeuille administratif et des projets d'État Avant d’être redistribué, l’argent a donc déjà été amputé par les coûts du système lui-même. L'argent volé est ensuite dispersé dans trois grandes couches de la ponction publique : L’État central : services régaliens (défense, justice, police, diplomatie), ministères, agences d’État, cabinets ministériels, subventions diverses à des industries, associations et entreprises proches du pouvoir etc. Les administrations de sécurité sociale : cotisations et impôts redistribués sous forme de prestations (santé, retraites, chômage, allocations etc). Les collectivités territoriales (régions, départements, communes, intercommunalités) : gestion des infrastructures, transports, éducation, urbanisme etc. Coût du millefeuille ? 7,5 milliards d’euros par an selon un rapport de 2024. 4. Récapitulons le cycle de destruction économique 1. L'État vous vole 2. Les parasites et rentiers du système se battent pour le butin public 3. Ce qui reste est réparti entre l’administration et les collectivités 4. Une partie est encore gaspillée dans des projets publics (dont le coût final est ahurissant à cause de tout ce parcours) Votre argent ne va donc jamais directement vers les services que vous espérez voir financés. Il passe par un circuit de prédation où chaque acteur tente d'en récupérer une part avant qu’il ne soit redistribué sous forme de services publics dégradés et de projets volontairement surfacturés. La redistribution publique sera donc toujours inefficace par nature. Elle n’est ni neutre ni tournée vers le "bien commun". Tout cela n'est qu'une façade idéologique. En réalité, c’est une guerre pour le contrôle de l’argent volé et pour la survie politique des dominants. Oui, la France est bien sous occupation publique.