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Trois riverains du Jardin d'Eole, dans le XIXe arrondissement de Paris racontent l'enfer du crack vu de près. « Qu’est-ce qu’ils fabriquent, vous n’avez pas vu la table de camping là ? », s’étonne Frédéric Francelle, jumelles collées au visage. Ce riverain des jardins d’Eole, dans le XIXe arrondissement de Paris, avait acheté ces binoculaires « pour regarder le Sacré-Cœur » qui culmine sous ses fenêtres. Mais l’omniprésence des consommateurs et dealers de crack sous ses fenêtres a bousculé son quotidien. Cet habitant dispose d’une vue plongeante sur le va-et-vient de ces hommes et femmes en grande souffrance entre les buissons du parc. Depuis le 17 mai et la décision des pouvoirs publics d’ouvrir le parc aux toxicomanes la nuit, cette cohabitation s’étend jusqu’à 1 heure du matin. « Et je me retrouve à épier les crackers, à essayer de savoir ce qu’ils sont en train de trafiquer », regrette-t-il. À droite, une silhouette épaisse s’affaire à étendre des vêtements entre deux arbustes. « Je ne sais pas ce qu’il fait lui, il pend son linge ». « C’est du voyeurisme », se désole le quadragénaire, conscient d’être confronté à des malades livrés à eux-mêmes. Une situation que la mairie de Paris a promis de régler d'ici la fin du mois de juin. https://www.leparisien.fr/video/video...