У нас вы можете посмотреть бесплатно Frapper Kagame chez lui, au Rwanda, c’est la seule voie vers la paix dans la région. или скачать в максимальном доступном качестве, видео которое было загружено на ютуб. Для загрузки выберите вариант из формы ниже:
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Porter la guerre à l’intérieur même du Rwanda pour stopper Kagame ? Une idée radicale, mais qui pourrait être la seule issue vers la paix dans les Grands Lacs. Dans une interview explosive à la BBC, le président burundais Évariste Ndayishimiye accuse Paul Kagame d’être le véritable commandant du M23. Ce groupe rebelle, responsable de massacres et de déplacements massifs dans l’est de la RDC, agirait selon ses ordres. Et si l’on veut vraiment briser cette chaîne de violence, il faudra peut-être frapper au cœur du système : Kigali. Derrière l’image de modernité que l’Occident aime tant, le Rwanda de Kagame mènerait une guerre de l’ombre pour s’accaparer les ressources congolaises. Coltan, or, cobalt… ces minerais cruciaux pour l’économie mondiale sont extraits dans le sang, pendant que Kigali nie toute implication. Mais les preuves s’accumulent : rapports de l’ONU, témoignages de déserteurs, enquêtes journalistiques. Le M23 ne serait pas un acteur indépendant, mais bien une extension directe du pouvoir rwandais. Le Burundi n’est pas dupe. Ndayishimiye n’a pas seulement dénoncé, il a prévenu. Le Rwanda aurait également soutenu des groupes rebelles hostiles à son régime. Et si le M23 avance encore, c’est aussi vers la frontière burundaise. Alors, la riposte pourrait venir de là. L’histoire militaire du Burundi montre qu’il n’a jamais reculé face à la guerre, même contre des puissances bien armées. Et aujourd’hui, Kigali pourrait bien être la prochaine cible si la provocation continue. Le problème, c’est que Kagame agit dans une impunité presque totale. Soutenu par certaines puissances étrangères, il échappe aux sanctions, aux condamnations, aux pressions diplomatiques. Résultat : le M23 continue sa progression, les civils continuent de mourir, et la communauté internationale ferme les yeux. Tant que personne n’ose le confronter directement, Kagame restera le maître du jeu. C’est là que le discours de Ndayishimiye prend tout son sens. Pour arrêter le M23, il faut en finir avec son chef. Et son chef, c’est Kagame. Une offensive ciblée sur les bases rwandaises d’entraînement ou de ravitaillement pourrait être un tournant historique. Non pas une invasion, mais une opération défensive transformée en contre-attaque stratégique. Il s’agirait d’envoyer un message clair : exporter la guerre, c’est l’importer aussi. La région doit choisir : continuer à subir ou prendre l’initiative. Le Rwanda n’est pas invincible. Le Burundi l’a déjà prouvé. Et aujourd’hui, les peuples du Congo et du Burundi sont à bout. La question n’est plus de savoir si Kagame est dangereux. Elle est de savoir combien de temps encore il pourra l’être sans en payer le prix. Cette vidéo plonge au cœur de cette réalité brutale, et explore ce que pourrait être le véritable prix de la paix. #Kagame, #M23, #Burundi, #RDC, #GrandsLacs