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AVC : quels réflexes adopter en cas de suspicion ?

Encore plus de vidéos https://www.france.tv/france-5/enquet... Abonnez-vous    / @allodocteurs   Retrouvez plus de vidéos sur votre santé sur https://www.allodocteurs.fr/videos/ En France, chaque année, 150 000 personnes sont victimes d’un accident vasculaire cérébral, un AVC, soit une victime toutes les quatre minutes. "Dès qu’on pense à une maladie du système nerveux central qui s’installe de façon relativement rapide, on est dans l’urgence absolue." Le professeur Christian Marescaux, neurologue au CHU de Strasbourg, est formel : l’accident vasculaire cérébral (AVC) s’apparente à une course contre la montre où chaque minute compte. Si 70 % des Français savent qu’une douleur dans la poitrine qui irradie dans le bras est le signe d’un infarctus, seuls 30 % sont au courant des signaux d’alerte de l’AVC. Cette maladie reste mal connue, alors qu’elle fait de terribles ravages. Elle est en effet la troisième cause de mortalité en France et la première cause de handicap chez l’adulte. Pourtant, la connaissance des premiers symptômes permettrait de sauver des vies. Car, pour contrer les conséquences d’un AVC ischémique, le plus fréquent, il existe un traitement très efficace : la thrombolyse. Injecté en intraveineuse, ce médicament dissout le caillot sanguin, permettant au sang de circuler à nouveau dans tous les vaisseaux du cerveau. Son principal inconvénient ? Il doit être administré dans un délai de quatre heures et demie suivant le début des symptômes. Alors comment repérer un AVC ? Quels sont les signes qui doivent alerter la victime, son entourage et même les médecins ? Quels sont les réflexes à adopter en cas de suspicion ? Paralysie du visage ou d’une partie du corps, difficultés d’élocution, pertes de mémoire… Les signaux d’alerte de l’AVC peuvent être très variés, selon la zone lésée dans le cerveau. Pour le professeur Christian Marescaux, "que ce soit un déficit moteur, une gêne visuelle ou des symptômes plus rares, le point commun qu’on verra à tous les signes, c’est que ça s’installe de façon rapide et brusque". Mais, à l’injustice de la maladie s’ajoute l’inégalité de la prise en charge. Aujourd’hui, la France compte 135 unités neuro-vasculaires (UNV) spécialisées dans le diagnostic et le traitement de ces accidents. Amené par le Samu, le patient "ne passe par aucun service d’urgence, aucun service médical", souligne le Pr Didier Smadja, neurologue au Centre hospitalier sud francilien de Corbeil-Essonnes." C’est directement de la prise en charge à domicile vers l’IRM cérébral. Le circuit permet donc d’éviter les pertes de temps lors des étapes qui pourraient se faire dans les différentes structures médicales." Outre les neurologues, ces services disposent d’orthophonistes et de kinésithérapeutes, procurant aux malades une rééducation précoce. Des études montrent que le fait d’être hospitalisé en unité neuro-vasculaire réduit de 20 % la mortalité et le handicap. Mais seulement 37 % des patients victimes d’un AVC y ont accès, par manque de place et de moyens. Selon le Pr Christian Marescaux, "c’est la seule pathologie où la question continue à se poser : où va-t-on hospitaliser quelqu’un qui a fait un accident vasculaire cérébral ? Parce que les UNV n’ont pas la taille qui permet de les prendre en charge tous. Donc, il reste dans tous les hôpitaux 25, 50, voire 75 % des patients qui n’ont pas accès à un service spécialisé." Enquête de santé 7 juin 2016 #santé #alimentation Témoignages, articles, conseils d’experts en vidéo… Retrouvez Allo Docteurs sur le Web et sur Youtube. Retrouvez aussi l'actualité de toutes nos émissions sur France Télévisions : Le Magazine de la Santé, du lundi au vendredi à 13h40 sur France 5 Enquête de Santé, sur France 5 Prenez soin de vous, sur France 2 ➡️ Suivez-nous pour vous informer sur votre santé et discuter sans tabou des grands débats de société.

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