У нас вы можете посмотреть бесплатно Arsenal lâche Kagame: Visit Rwanda devient la victime collatérale de ses guerres en RDC! или скачать в максимальном доступном качестве, видео которое было загружено на ютуб. Для загрузки выберите вариант из формы ниже:
Если кнопки скачивания не
загрузились
НАЖМИТЕ ЗДЕСЬ или обновите страницу
Если возникают проблемы со скачиванием видео, пожалуйста напишите в поддержку по адресу внизу
страницы.
Спасибо за использование сервиса ClipSaver.ru
La rupture est désormais officielle : Arsenal met fin au partenariat « Visit Rwanda », et derrière les déclarations diplomatiques et les discours polis, une vérité plus profonde éclate enfin au grand jour. Ce n’est ni une décision marketing, ni une simple réorientation stratégique, contrairement à ce que Kigali cherche à faire croire. C’est un message envoyé par un acteur mondial majeur : on ne peut pas s’associer à un régime accusé d’attiser l’instabilité dans l’est de la République démocratique du Congo. Cette décision n’est pas banale. Elle marque un tournant géopolitique, une prise de conscience internationale, et surtout une victoire morale pour toutes les victimes congolaises longtemps ignorées par les puissances médiatiques et économiques du monde du football. Car depuis huit ans, le logo « Visit Rwanda » brillait sur la manche des Gunners comme un symbole de réussite diplomatique pour Paul Kagame. Mais derrière cette image soignée se cachait une autre réalité : celle de millions de déplacés, de villages incendiés, de ressources pillées, de familles fuyant la violence dans le Nord-Kivu. Pendant que Kigali dépensait des dizaines de millions dans les clubs européens pour vendre une image de modernité, la situation sécuritaire dans l’est de la RDC ne cessait de se dégrader. Et ce contraste devenait chaque jour plus insoutenable. Les supporters, les ONG, les journalistes, les militants, tous ont commencé à poser les questions qui dérangent : comment un régime accusé de soutenir une rébellion active peut-il financer des campagnes mondiales dans le sport sans rendre de comptes ? La lettre officielle du gouvernement congolais adressée à Arsenal a été un déclencheur. En dénonçant un sponsoring « entaché de sang », Kinshasa a mis le club face à son propre dilemme moral. Et lorsque la polémique a pris de l’ampleur en Europe, les dirigeants des Gunners ont compris que rester associés à « Visit Rwanda » revenait à cautionner, même indirectement, une agression contre un pays souverain. La décision de rompre est donc un choix de conscience, un geste politique déguisé en décision commerciale, une manière de dire : « Nous ne voulons plus être liés à cela. » Cette rupture résonne comme un avertissement adressé à Kigali. L’ère où l’on pouvait dissimuler un conflit sous une campagne publicitaire touche à sa fin. Le monde du football, longtemps utilisé comme outil de soft power, commence à s’indigner. Et ce qui arrive à Arsenal pourrait bientôt se répéter ailleurs. Car les fans du Bayern Munich, du PSG et d’autres clubs européens ont déjà lancé des pétitions, exigé des débats, et dénoncé les liens entre Kigali et l’instabilité régionale. Le masque tombe progressivement, et l’image impeccablement contrôlée du Rwanda commence à se fissurer sous la pression des faits. Pour la RDC, c’est un moment important. Une reconnaissance implicite de sa souffrance. Un signe que la vérité, longtemps étouffée, commence à imposer sa place dans l’arène internationale. Et au-delà du football, c’est tout le débat sur la souveraineté africaine, la justice régionale et la responsabilité des puissances étrangères qui revient au centre du terrain. Ce n’est qu’un début. Le monde regarde. Et cette fois, il écoute aussi. #Arsenal #RDC #Kagame #VisitRwanda #AfricaFlashes