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🌙 Nuits Blanches — quand la nuit refuse de finir. Chaque heure pèse comme un secret, chaque pensée frappe plus fort que le sommeil. Entre solitude et lucidité, c’est l’hymne des esprits qui veillent. #NuitsBlanches #QuébecVibes #insomnie #rapqueb #conscient #hiphop #raplucide #rapquébécois #realrap #realtalk [Paroles] nuits blanches, mes pensées tournent en rond, chaque heure sans sommeil me pèse comme du plomb. nuits blanches, les ombres me parlent trop fort, j’trouve la vérité quand les autres s’endorent. les minutes s’étirent comme des fils d’acier, chaque tic-tac me force à tout ressasser. les murs respirent, le noir m’étouffe, chaque ombre dans l’coin sonne comme une preuve. le cœur débats vite, mais le temps s’arrête, l’esprit chargé comme une arme prête. j’compte pas les heures, j’compte les raisons, pourquoi l’sommeil fuit quand tout est une prison. les veines battent comme des tambours secs, chaque souvenir rentre, pis m'laisse en miettes. j’fais la guerre en silence avec mon passé, pis la nuit devient l’seul juge qui m’fait trembler. nuits blanches, mes pensées tournent en rond, chaque heure sans sommeil me pèse comme du plomb. nuits blanches, les ombres me parlent trop fort, j’trouve la vérité quand les autres s’endorent. la fenêtre ouverte crache l’air glacé, mes pensées roulent comme des pneus crevés. l’oreiller porte les marques d'la fatigue, mais mes yeux fixent le vide, l’esprit tragique. chaque bruit d’la rue déclenche un film, chaque détail s’imprime comme une rime infime. j’cherche la paix, mais y’a juste du chaos, dans ma tête, les voix cognent comme des marteaux. insomnie brute, j’compte pas mes peines, elles s’empilent haut comme des murs de chaînes. mais j’gratte des lignes, j’fais parler l’encre, mes nuits blanches deviennent des armes qui tranche nuits blanches, mes pensées tournent en rond, chaque heure sans sommeil me pèse comme du plomb. nuits blanches, les ombres me parlent trop fort, j’trouve la vérité quand les autres s’endorent. le soleil tarde, mais j’suis déjà brûlé, mes yeux cernés portent le poids du passé. chaque matin m'retrouve sans repos, mais plus aiguisé, chaque mot est un couteau. les draps froissés, témoins d’ma guerre, j’porte la fatigue comme une armure claire. la nuit m’vole le sommeil, mais jamais ma voix, j’rappe mes insomnies, c’est mon seul choix. pis si demain on m’trouve les yeux ouverts, j’aurais gravé mes peines dans l’univers. chaque nuit blanche bâtit mon testament, un cri brut, cru, mais vrai, vivant. nuits blanches, mes pensées tournent en rond, chaque heure sans sommeil me pèse comme du plomb. nuits blanches, les ombres me parlent trop fort, j’trouve la vérité quand les autres s’endorent. nuits blanches, mes pensées tournent en rond, chaque heure sans sommeil me pèse comme du plomb. nuits blanches, les ombres me parlent trop fort, j’trouve la vérité quand les autres s’endorent.