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« J’ai choisi l’EDHEC il y a 30 ans, son indépendance et ses valeurs humanistes m’ont plu », confie Emmanuel Métais, Directeur général de l’école. Association à but non lucratif, l’EDHEC finance 80 % de son budget annuel – qui s’élève à 200 millions d’euros – grâce aux frais de scolarité. Pour compléter ce modèle, l’école s’appuie également sur un véritable savoir-faire dans la valorisation de sa recherche, qu’elle est en mesure de monétiser auprès des entreprises. L’EDHEC affiche un engagement fort : « former à transformer, faire en sorte que le business serve le bien commun », souligne son Directeur général. Pour concrétiser cette mission, l’école investit massivement dans la recherche sur les grands enjeux contemporains : « nous finançons la recherche sur le climat à hauteur de 60 millions d’euros par an », précise-t-il, tout en renforçant la formation des élèves en géopolitique, un domaine devenu incontournable. L'école de commerce poursuit un objectif ambitieux : garantir la gratuité de la scolarité pour les élèves les plus démunis, afin de permettre aux talents issus de tous les milieux d’accéder à l’excellence. Pour y parvenir, l’école reverse chaque année 10 millions d’euros sous forme de bourses et grâce à une fondation de plus en plus active qui a levé 5 millions d’euros l’an dernier. « 15% de nos élèves sont boursiers, nous voulons passer à 20%. Et pour les plus défavorisés, nous visons une prise en charge à 100% des frais de scolarité », ambitionne le Directeur général. Emmanuel Métais en appelle aux responsables politiques à « maintenir la France comme terre d’accueil pour les talents du monde entier », mettant en garde contre la « catastrophe culturelle, pour la recherche et pour l’enseignement supérieur » que représenterait, selon lui, la décision de certains pays de réduire, voire d’arrêter, l’immigration étudiante.