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La façon dont tu termines ta journée influence profondément la qualité de ton sommeil et l’état de ton esprit au réveil. Le bouddhisme enseigne que les rituels du soir peuvent purifier la conscience, apaiser les émotions et préparer l’âme à se reposer en paix. Prendre quelques instants pour se recentrer avant de dormir est un acte de bienveillance envers soi-même. C’est dans le calme de la nuit que naît la clarté du lendemain. Le silence du soir est un terrain fertile pour la sagesse. Dans cette vidéo, tu découvriras 10 enseignements bouddhistes à pratiquer chaque soir avant de te coucher. Avant de commencer, aime la vidéo et abonne-toi à la chaîne pour ne manquer aucun de nos nouveaux contenus. Enseignement 1 : Respire consciemment. La nuit approche, et avec elle, le besoin de se détendre profondément. Avant de fermer les yeux, il est essentiel de revenir à soi. Une façon simple et puissante d’y parvenir est de porter attention à sa propre respiration. Ce mouvement naturel, souvent négligé, devient un pont vers la tranquillité intérieure. En respirant consciemment, on invite le calme à entrer dans chaque recoin de notre être. Inspire lentement, puis expire sans forcer. Ce rythme paisible a le pouvoir de dissiper les tensions accumulées au cours de la journée. Chaque souffle devient une ancre, un point d’appui dans le présent. L’esprit cesse de vagabonder entre regrets du passé et inquiétudes du futur. Le corps, lui, s’apaise doucement, prêt à accueillir le repos. Respirer consciemment, ce n’est pas seulement remplir ses poumons d’air. C’est aussi cultiver une forme de présence à soi-même. Cela permet d’observer ses émotions sans les juger, de sentir ses pensées sans s’y attacher. C’est une manière d’entrer dans un état de pleine acceptation. Et cette acceptation ouvre naturellement la porte au sommeil. Le bouddhisme enseigne que tout commence par la conscience. Être conscient de sa respiration, c’est revenir à l’essentiel. Cela nous ramène à cette vérité simple : nous sommes vivants ici et maintenant. Et dans cette reconnaissance, il y a déjà un profond apaisement. L’esprit n’a plus besoin de se débattre, il peut enfin se reposer. Souvent, nous cherchons la paix dans le silence extérieur. Mais le véritable silence est intérieur, et il commence par une respiration paisible. Dans le noir de la chambre, allongé en silence, chaque souffle devient une caresse qui berce l’âme. Plus on l’écoute, plus il devient doux. Et plus il devient doux, plus le sommeil devient naturel. Beaucoup de personnes s’endorment en luttant contre leurs pensées. Mais la lutte crée de la tension. La respiration consciente, au contraire, invite à relâcher cette tension. Elle ne chasse pas les pensées, elle les accueille, puis les laisse passer. C’est une invitation à la douceur envers soi-même. En respirant ainsi, on comprend que le sommeil ne se force pas. Il s’invite comme une pluie légère après une journée chaude. Chaque inspiration apporte de la fraîcheur, chaque expiration libère un poids. On ne fait plus d’effort, on se laisse simplement porter. Et ce lâcher-prise est ce qui permet de vraiment s’endormir. Parfois, il suffit de quelques minutes d’attention au souffle pour transformer une nuit agitée en nuit paisible. Ce n’est ni une technique magique ni un secret réservé à quelques-uns. C’est une possibilité offerte à chacun, chaque soir. C’est un geste simple, mais chargé de présence. Et dans cette présence, tout se calme. Le corps lui aussi réagit à cette conscience douce. Les muscles se détendent, les battements du cœur ralentissent. Même les zones tendues se relâchent naturellement. Le système nerveux perçoit qu’il n’a plus besoin d’être en alerte. Il comprend que c’est le moment de se réparer, de se régénérer. Il n’est pas nécessaire d’avoir une grande expérience de la méditation. Il suffit d’écouter, sans chercher à bien faire. Respirer consciemment n’est pas un exercice de performance, mais un retour à ce qui est déjà là. Même un enfant peut le faire. C’est un geste d’une simplicité immense, et pourtant si puissant. Le bouddhisme ne propose pas des solutions rigides, mais des chemins d’observation. Et la respiration est l’un des plus accessibles. En la suivant, on apprend à mieux se connaître. On découvre ce qui nous agite, ce qui nous apaise. On apprend à naviguer dans le tumulte intérieur sans se noyer. À force de pratique, cette habitude devient un rituel sacré. Chaque soir, on se connecte à soi de cette manière douce et bienveillante. Peu à peu, le sommeil devient plus profond, plus réparateur. On ne dort plus seulement pour fuir la fatigue, mais pour se retrouver. Et ce changement transforme nos nuits. Aimez et partagez cette vidéo ! #bouddhisme #enseignementsbouddhistes #philosophiebouddhiste